Lettre ouverte aux responsables de MEDIA-PARTICIPATIONS

Messieurs,

Nous avons visionné la conférence de presse de votre société Dupuis du 17 mars 2022 au 49 ème Salon international d’Angoulême annonçant une nouvelle bande dessinée de Gaston Lagaffe (Conférence de presse 100 ans Dupuis – YouTube) et ce malgré la nette opposition du droit moral d’André Franquin.  

Ce litige nous semble déborder largement du cadre strictement légal des droits d’exploitation que vous auriez ou n’auriez pas. En agissant ainsi envers le droit moral, vous fragilisez toute une forme artistique qui a mis plus d’un siècle à se faire respecter. Vous proposez de revenir à une époque où la volonté du créateur était soumise au bon vouloir des détenteurs des droits commerciaux et où un ersatz – ou produit dérivé – se présente comme une œuvre originale. 

Pour ceux et celles qui consacrent leur talent et activité à cette forme artistique, comme pour les lecteurs et lectrices, il est essentiel que les droits moraux des auteurs – morts ou vifs –  soient respectés. Pour préserver cette nécessaire confiance, il est impératif que vous honoriez la volonté d’André Franquin, qui a demandé – à de nombreuses reprises, publiquement et sans détour – que son personnage de Gaston ne lui survive pas sous les traits d’autres auteurs. 

En bafouant son droit moral, vous mettez en péril la création d’hier, la création d’aujourd’hui et hypothéquez la création de demain ; la bande dessinée ne peut être restreinte à un artisanat traditionnel ou un produit industriel. 

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1244 Comments

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  1. COMMUNIQUE DE PRESSE :
    A l’occasion de la publication de l’album « Le retour de Lagaffe » qui reprend le personnage de Gaston sous la signature de Delaf, il me semble opportun de revenir sur le litige provoqué par la résurrection de l’Illustre Gaffeur.
    Avant toute chose, je crois nécessaire de reconsidérer le Droit Moral, aspect du Droit d’Auteur suffisamment méconnu pour qu’il soit utile d’en rappeler les 3 composantes : droit de paternité, droit de divulgation et droit au respect de l’intégrité de l’œuvre. Ce dernier permet à l’artiste et à ses héritiers de s’opposer à toute modification de l’œuvre. Même s’il y a renoncé partiellement, un garde-fou subsiste, comme l’écrit Berenboom, l’avocat de Dupuis, l’auteur pourra toujours dénoncer une modification qui constitue une atteinte à l’honneur ou à la réputation de l’auteur.
    Lorsque l’auteur est décédé, cela signifie que ses héritiers doivent faire respecter sa volonté. Ils ont l’obligation de se mettre « dans les pantoufles » de l’auteur décédé. Berenboom précise : « C’est moins un attribut qu’une servitude : celle de veiller à protéger l’œuvre de l’auteur défunt et à travers elle sa personnalité. »
    Même si l’auteur a transmis ses droits patrimoniaux à des tiers, ces droits moraux sur l’œuvre lui restent attachés, à lui et ses héritiers jusqu’à 70 ans après sa mort.
    Ainsi que le stipulait le contrat de 1992, tout différend devait se régler par un arbitrage.
    Un arbitre a donc été désigné en avril 2022.
    Dans sa sentence rendue fin mai 2023, l’arbitre a fait le tri dans les pièces & témoignages produits.
    Il a donné une interprétation aux documents, termes, contrat & témoignages pour valider la parution de l’album « Le retour de Lagaffe » signé de Delaf &, par là-même, la reprise du personnage tout en autorisant le contrôle du Droit Moral par l’ayant-droit en exercice.
    Cette sentence n’est pas susceptible d’appel.
    Il est par contre une chose qui est certaine et n’est susceptible d’aucune interprétation, c’est la volonté non équivoque que m’a exprimée personnellement mon père de ne pas voir Gaston lui survivre sous le crayon d’un autre dessinateur.
    Après réflexion, j’ai donc pris la décision de ne pas faire de commentaire au titre du Droit Moral sur l’album. Faire de tels commentaires aurait constitué une forme d’aval à cette entreprise de résurrection de Gaston.
    Je ne pouvais exercer de Droit Moral sur quelque chose qui n’aurait jamais dû exister car allant totalement à l’encontre de la volonté que m’a exprimé mon père à maintes reprises, à moi mais aussi à mes enfants, mon entourage, à ses amis et à ses confrères .
    Je ne puis aller contre la volonté de l’auteur. Il est de mon obligation de la respecter.
    Isabelle Franquin.
    Sources : Wikipedia et A. Berenboom (en italique) « Le Nouveau droit d’auteur », 5ème éd., 2022, pp 295 et 348.

  2. « Il y a conservateur et conservateur ».
    Face aux réactions épidermiques provoquées par la poursuite de la série Gaston par le groupe media-participation, des partisans de la reprise présentent ses détracteurs comme de vieux conservateurs, hostiles à toutes nouveautés et désirant préserver leurs souvenirs de lectures passées. Or, ce qu’ils décrivent est très précisément la démarche entreprise par Dupuis/Média-Participations : fétichiste (reprise obsessionnelle du graphisme), régressive (placer le personnage dans un « Age d’Or ») et ancrée dans leur loi des séries flattant le lectorat le plus frileux.
    Cette démarche est en totale opposition à celle, évolutive et progressiste, de l’artiste original, André Franquin, qui n’a pas cessé de dessiner au présent, de critiquer son travail passé, et d’être bienveillant pour la création à venir, surtout celle des autres. Un artiste qui n’a pas arrêter de dire aux auteurs de bande dessinée: « faites votre propre création » et qui a dit – à tous ceux qui veulent bien le lire ou l’entendre – qu’il désirait que son personnage ne lui survive pas sous la mine (on ne parlait pas encore de palette graphique) d’un tiers. Jean-François Moyersoen, le contractant avec André Franquin de la cession des droits d’exploitation de Gaston étant le premier à reconnaitre cette volonté nette et précise.
    Personne de sensé ne s’étonnera donc que l’ayant-droit morale s’insurge contre cette triste politique (éditoriale) de reprise qui est une véritable idéologie mortifère. Celle-ci n’est pas affichée et, circonstance aggravante, n’est sans doute pas consciente de la part des acteurs à la tête de ce groupe. Honorer les actionnaires est devenu la sacro-sainte norme partout même chez les catholiques de droite (Média-Participations/groupe Ampère a absorbé Dargaud, Lombard, Dupuis, Fleurus et les éditions du Triomphe). La loi du silence prévaut chez ses décideurs, éditeurs et auteurs, que celle-ci soit exigée ou acceptée tacitement. Et on ne peut certainement pas attendre de nombreux journalistes en charge de la rubrique « BD », engoncés jusqu’au cou dans les conflits d’intérêts, de tirer la sonnette d’alarme.
    Que ce Gaston 2.0. devienne une des mascottes de Média-Participations est un violent détournement – intellectuel et culturel – d’une oeuvre originale, ouverte et progressiste. Gaston, ce grain de sable dans la machine bureaucratique, cet empêcheur de fixer la vie dans des contrats, ce créateur d’accidents heureux est aujourd’hui en passe d’être complètement neutralisé par ses exploitants commerciaux. C’est une entreprise de corruption de l’oeuvre qu’ils avaient pourtant pour mission de valoriser et de protéger.

  3. J’ai pitié pour Delaf, qui avait tres bien débuté il y a une décennie avec « Les nombrils », une BD assez chouette dont ma fille était fan, et se retrouve pris au piège, probablement paumé suite au départ de son scénariste, et l’abandon de sa série… Ce pitoyable travail de photocopieur tâcheron, ou il doit faire fi de son style propre, ya pas mieux pour tuer une carrière… En plus, il y a une cruauté, probablement héritée des Nombrils, dans son « humour », qui est aux antipodes de l’esprit de Franquin. Pauvres de nous, lecteurs de Spirou, qui nous retrouvons à devoir, en plus de ce Gaston Larnaque, nous farcir un remake de Boule et Bill qui suit la même logique, et d’autres poussifs remakes dont je ne me souviens pas à l’instant, entre deux sous-mangas sur palette graphique totalement inbitables. Le résultat, un Spirou tombe des mains de mes mômes, qui feuilletent vite fait Dad et le sommaire, avant de jeter le journal. Bravo Dupuis, à force de pisser dans leur culotte à l’idée de se renouveler tout en conservant un caractère propre, ils font du mauvais glénat et recyclent les succes d’il y a 50 ans. Bientôt la faillite ?

  4. J’entends à l’instant que l’ersatz informatisé de Gaston serait finalement autorisé en justice. Si c’était le cas, il s’agirait d’une victoire ignoble du fric (comme partout ailleurs), qui aurait fait vomir Franquin. Je déteste toutes les reprises de BD par d’autres dessinateurs et auteurs (à une époque, ce fut Laurent Gerra pour Astérix — comment a-t-on pu tomber si bas ?), mais en l’occurrence on touche vraiment le fond, le nadir, l’abîme d’immoralité crasse. Hergé s’était expressément élevé contre une reprise de Tintin après sa mort, mais il ne m’étonnerait pas qu’on finisse par contourner sa volonté, car l’appât du gain n’a pas de limite. Encore une fois, on est là aux antipodes de l’exigence morale d’André Franquin. Honte aux éditions Dupuis et au prétendu artiste qui s’abaisse à cette reprise, à grand renfort d’informatique déshumanisante. Vous êtes des misérables ! Je voudrais croire que cette publication de bas étage, si effectivement elle voit le jour, sera massivement boycottée, mais je suis pessimiste sur ce point. Beaucoup de gens n’acceptent plus que les choses aient une fin, ils en veulent encore, et encore, et encore… Bravo en tout cas aux lanceurs de cette pétition, et à Isabelle Franquin qui est le contraire d’Anne Goscinny, laquelle, sous couvert de perpétuation de l’héritage artistique de son père (mon œil !), encourage et se repaît des plus laides et stupides suites et adaptations d’Astérix, de Lucky Luke et d’Iznogoud.

  5. Le simple fait de ne pas respecter les souhaits d’une personne artiste ou non est un déni de cette personne. Et un peuple qui ne respecte pas ses morts est un peuple décadent.

  6. C’est exactement comme le cas d’un réalisateur qui tourne un film en noir et blanc ;
    – Soit il n’avait pas le budget pour la couleur et donc, le film pourrait être colorisé
    – Soit il VOULAIT que son film passe en noir et blanc, et je trouve alors qu’on ne PEUT PAS passer à la colorisation posthume de son film, d’autant plus qu’il n’est plus là pour changer d’avis ! Pour exemple, le grand Orson Welles, avant sa mort, ne voulait pas qu’on colorise un jour « Citizen Kane ».
    – John Huston

  7. Merci à Isabelle Franquin de se battre pour faire respecter
    la volonté de son papa André Franquin.
    Triste de devoir lutter pour le respect..

  8. Je suis tout à fait de votre avis ! Il est vrai que c’est une tendance dans la BD de faire vivre le personnage après le décès de son inventeur mais c’est à mon humble avis une erreur. Si les traits du personnage peuvent être copiés, l’invention, la magie de son comportement inventé par son créateur ne sera jamais vraiment au rendez-vous !!

  9. Je suis du coté de Franquin inconditionnellement et de son souhait d’auteur et créateur .
    Franquin n’aimaient pas les requins du commerce, Demesmaeker n’a jamais pu profiter de son contrat même signé ! Laissez à Franquin ce qui est à Franquin.

  10. André Franquin s’est clairement expliqué, il ne voulait pas que Gaston soit repris par un autre dessinanteur. Tout le reste ne sont que des arguties juridiques.

  11. Pour de l’argent que ne feriez-vous pas ?
    Editer un Gaston Lagaffe écrit et dessiné (sic) par d’autres, c’est aller danser la gigue sur la tombe d’André Franquin.
    Honte à vous rien que d’y avoir pensé !

  12. Gaston tel qu’il est en ses albums se suffit à lui-même et me fait rire encore et toujours depuis 50 ans. Aujourd’hui Pico Bogue, le petit Spirou, Kid Paddle, Le retour a la terre, et tant d’autres me font rire. Ils ne sont pas Gaston. Ils sont Roques, Tom & Janry, Midam, Larcenet … Asterix me faisait rire, c’était Goscinny.: Ce sont les auteurs qui non font rire avant et avec leurs personnage. Asterix ne me fait plus rire, ce n’est plus Goscinny et en plus ça me rend triste… de nouveaux auteurs créent de nouveaux rires, c’est magnifique ! Ne rendez pas Gaston triste, il n’y a pas de repises possibles, juste de l’imposture. Bravo à tous ceux qui défendent le rire contre le sâle fric des marketeux, bravo pour leur courage malgré ce que les friquiens leur font subir !

  13. Contrairement à Spirou et d’autres héros franchisés de la BD, Gaston est une œuvre personnelle et ne devrait appartenir qu’à son créateur et personne d’autre.
    Pourquoi pas des idées noires tant qu’on y est ?
    La maison Dupuis déçoit tant par ce projet que par la piètre qualité du travail du repreneur…

  14. Non à la fausse suite des aventures de Gaston Lagaffe! Pour le respect de la volonté de son auteur.

  15. Comme le dit ma grand-mère : Les reprises, c’est bien pour les chaussettes.
    Plutôt que d’exploiter commercialement des « marques », créons !

  16. Tout a déjà été dit. Non à un Gaston sans Franquin. Ça n’a aucun sens.
    Je veux même bien vous donner 15€ pour un non-album de Gaston.

  17. Respectons donc le droit du créateur avant celui de tout autres, cela me paraît de toute évidence la seule et unique bonne voie à suivre. Le magasin Spirou devrait être le premier à respecter cela sachant tout ce que Franquin à pu apporter à l’hebdomadaire.

  18. Tout mon soutien à Franquin que j’ai eu le plaisir de rencontrer quand il a été membre de mon jury de fin d’année fin des années 80.

  19. Soutien inconditionnel au souhait d’André Frankin. Courage, à sa fille et aux anciens collaborateurs.

  20. Cet acharnement thérapeutique me dérange un peu. André Franquin a créé Gaston Lagaffe, ils sont malheureusement décédés tous les deux. Gaston avait une âme que nous ne retrouverons jamais, même sous un excellent coup de crayon. Ainsi soit-il…

  21. Beaucoup de gens veulent encore voir Gaston Lagaffe, moi le premier qui a toute la collection de M. Franquiste.
    Je dis simplement ceci…Que la justice laisse le droit de rire à tous ces lecteurs et aux fans de Gaston Lagaffe…

  22. Moi qui ai grandi avec Gaston, qui ai rencontré son magnifique créateur, qui ai travaillé pour Dupuis, je étranglé devant le mépris dont Franquin fait l’objet en cette misérable aventure.

  23. Gaston sans Franquin n’est pas Gaston. Gaston faisait vivre le génie de son auteur, pas de celui d’un autre.

  24. Pourquoi accepterait-on pour Gaston ce que l’on refuse à Tintin ?
    Ces deux créateurs aussi talentueux l’un que l’autre font parties des légendes de la BD.
    Laissons leur leur oeuvre, ils l’ont méritée et elle ne peut être ramassée par personne, surtout pas au nom d’un nouvel auteur se prénomant: FRIC

  25. Gaston est la création de Franquin ! Laissons lui ce chef-d’œuvre de la BD!

  26. C’est dommage pour Delaf, qui a un vrai talent, mais voilà une reprise qui ne s’imposait pas : la volonté de Franquin était que l’on ne perpétue pas une œuvre aussi personnelle, aussi intime et aussi chargée de toute sa conception du monde.

  27. Bonjour,
    amateur de Gaston et Spirou depuis les années 70, je ne puis apprécier ce qui a été fait avec le « petit » spirou, pour les raisons suivantes :
    – Les gags y sont bien trop souvent dictés par le marketing, qui les amène au dessus de la ceinture pour flatter les pulsions du lecteur à défaut de lui raconter une histoire, ce qui nécessite d’être créatif : pas donné à tt le monde..
    – Les gags sont triviaux, ils ne sollicitent pas l’esprit (1 gros mot, pardon) ni n’éveillent l’intelligence ( pardon encore) du lecteur, le marketing dans sa version actuelle prétend que c’est une option inutile car on nivelle par le bas pour ne léser aucun « client ».
    -Les qualités humaines mises en avant dans les albums de Spirou sont tout à fait oubliées voire reniées par le « petit » car elles risqueraient de rendre le lecteur exigeant. Donc abrutissons-le avec une bd plutôt stupide faisant rire gras, de façon à lui vendre par la suite d’autres oeuvres de qualité similaire. Ainsi, on fait croire au jeune lecteur ignorant des Spirous « authentiques » qu’il a eu accès à Spirou, pour plus tard continuer à lui vendre des ersatz, des bullshit comics.
    Pourquoi m’émouvoir autant de cette histoire apparemment sans grande importance ? Parce que les années ayant passé, je mesure en tant qu’adulte la qualité excellente du travail de Franquin, qui a été pour ses lecteurs à minima un oncle bienveillant éveillant des milliers d’enfants à des vies plus riches en aventures positives qu’ils n’en auraient eu sans ses oeuvres. Je déplore que ces classiques ne soient pas plus accessibles pour les générations actuelles, à fortiori quand on les remplace par des produits en comparaison plutôt insipides. A ceux qui me diront que je suis peu tendre à l’égard des « auteurs » de ces bd, je puis répondre que s’adresser à un jeune public de 7 à 107 ans pour le distraire demande quelques qualités, et que si ils en sont dépourvus, rien ne les empêche de se livrer à toute autre activité pour subvenir à leurs besoins au lieu de nourrir leurs semblables avec de la fast bédé !
    Spéciale dédicace à Franquin & toute sa famille proche & élargie !
    Un amateur

  28. Gaston est parfait, laissons-le tranquille. Toutes les bonnes choses ont une « fin ».

  29. Puisque le desir d’André Franquin était que personne ne reprenne Gaston Lagaffe après lui, je trouve normal que cela soit respecté. De plus, en tant que fan absolue de Gaston Lagaffe, je n’imagine pas que l’esprit et l’humour pourrait rester aussi savoureux.

  30. Pour le respect des droits moraux des auteurs, nous soutenons et nous signons

  31. Comment prétendre pouvoir poursuivre l’œuvre d’un artiste et, notamment dans le cas d’ André Franquin, s’emparer de son humour, un des traits les plus caractéristique de sa personnalité.
    Pas de reproduction pour que vive l’original !

  32. Ces productions « revisitées » dégagent un tel esprit commercial évident qu’elles ne font que susciter le rejet, si ce n’est le dégout, d’un public passionné.
    Nicollo

  33. Il faut respecter la volonté de Franquin et ne pas refaire de nouvel album de Gaston pour des raisons uniquement commercialles et financières .

  34. Merci de respecter les auteurs et les dernières volontés de Franquin. Gaston n’est pas à vendre et nous ne voulons pas de pâle copie.
    Mademoiselle Jeanne.

  35. C’est honteux de ne pas respecter la volonté de l’auteur.
    C’est lui qui l’a créé et c’est donc son choix que nous devons respecter.
    De plus je suis persuadée que Gaston n’a pas sa place dans notre monde actuel
    Vous l’imaginez avec un ordinateur et un smartphone ???? N’importe quoi maison le donc en paix❤

  36. Restons vigilants car il semblerait, à lire les commentaires soutenant cette juste cause, que Gaston ait déjà deux papas : Franquin et un certain Frankin 🙂

  37. Si c’était sa volonté, que celle-ci soit respectée. Je comprends tout à fait la décision d’empêcher cette parution et je ne comprends pas que l édition n’ait pas respecté cela.

  38. Toute affaint d’accord. Pas de nouveau albums de BD, car Franquin l’a voulu comme ça.

  39. on a respecté la volonté d’Hergé alors qu’il y avait pléthore d’assistants connus aptes à continuer la série Tintin. Gaston Lagaffe est une oeuvre trop proche de son créateur et Franquin a, lui aussi, affirmé sa volonté que la série s’arrête a sa mort. Il y a bien moins de respect chez Dupuis que chez d’autres éditeurs, visiblement
    si cela devait se faire, je boycotterai les publications Dupuis.

  40. Gaston n’est pas une simple marionnette de laquelle n’importe qui pourrait tirer les fils. Il a une âme, celle qui continue de vivre dans les dessins de Franquin, et n’a donc pas besoin d’être ressuscitée !

  41. Franquin n’était pas juste un immense dessinateur, c’était aussi un AUTEUR de génie avec un univers poétique, une vision du monde très personnelle, un artiste complet.
    Delaf, avec toute la meilleure volonté (et les meilleurs scanners!) du monde ne pourra jamais restituer ce qui fait le sel de l’oeuvre de Franquin, cet humour aux différents niveaux de lecture, cette poésie cette invention…
    Même s’il devait respecter à la lettre le « cahier des charges » et faire « du Franquin » comme d’autres font laborieusement « du Jacobs », il ne pourrait être, au mieux, qu’un copiste doué, un faussaire de talent.
    Gaston c’est Franquin et Franquin c’est Gaston ! Gaston sans Franquin n’a aucun intérêt, aucune saveur.
    Je soutiens Isabelle Franquin et je signe.
    ROGNTUDJUU!!!!!

  42. Sorry, I don’t speak French. But I don’t think new Gaston albums should be published in any language.

  43. Merci de bien vouloir appeler cela « fade copie de Gaston ».

    Les rares planches qui sont sortis me font mal aux yeux et leur humour me donne envie de me pendre.

    Delaf, vous êtes bien gentil, mais vous n’avez pas ce qu’il faut. Et vous n’êtes pas un fan.. Si vous ne respectez pas André Franquin et ses volontés exprimées, vous êtes une raclure de chiotte, comme un politicien qui se réclamerait d’un autre !

    Au demeurant, celui qui pourrait avoir ce qu’il faut, aurait probablement plus à nous offrir en création originale !

    Aux éditions : Nous avons tous pris l’habitude de pomper tout ce qui n’est plus disponible en rayon sur le web. Croyez-moi, ça ne tient qu’à notre bonne volonté de vous filez encore du blé !
    Ainsi êtes vous prévenu, si telle désillusions devait paraître, vous n’aurez plus un centime de ma part ! À bon entendeur, salauds !

  44. Pourquoi vouloir toujours s’opposer à la volonté de l’auteur ? Laissez le talent s’exprimer !

  45. Veuillez respecter les souhaits de Franquin ou subir les malédictions des caricaturistes du monde entier !! Nous sommes dangereusement drôles lorsqu’ils sont en colère.

  46. Je suis d’accord Geluk et la fille de Franquin. La volonté de l’auteur, clairement manifestée par divers canaux, doit être respectée.

  47. Je ne suis pas d’office opposé aux reprises de personnages de BD. Lorsque la reprise est la volonté exprimée de son vivant par l’auteur, et que de surcroit, celui-ci a lui-même choisi et « coaché » un auteur de talent, pourquoi pas? Par ex: Franquin/Batem, Uderzo/Conrad, Roba/Verron, Peyo/Walthéry… N’oublions pas non plus que l’extraordinaire Spirou de Franquin était aussi déjà une reprise, sans oublier d’autres réussites comme le Spirou de Janry, Tif et Tondu de Will, Clifton de Turk ou les Tuniques Bleues de Lambil…
    Pour ce qui est de la reprise « éventuelle » de Gaston, c’est tout à fait différent et je trouve très triste que Dupuis ne respecte pas la volonté de Franquin et manque à ce point de respect pour un auteur majeur du 9ème art et un auteur « historique » de l’age d’or du journal Spirou auquel ils doivent énormément. Il est regrettable aussi d’envoyer au casse-pipe Delaf, qui est probablement sincère dans sa démarche, même si sa méthodologie est plutôt discutable.
    Comme de nombreux bédéphiles, je ressens une certaine frustration à ce qu’il n’y ait pas eu plus d’albums de Gaston par Franquin mais avons-nous vraiment besoin d’un ersatz? Relisons (et faisons découvrir aux plus jeunes) les albums de Gaston mais également les Spirou et autres Idées Noires de ce génie de la BD!
    Alors bien évidemment que je signe des deux mains!(et dès aujourd’hui!)

  48. Pourquoi bafouer la volonté de l’auteur? N’a t il pas déjà assez rapporté à Dupuis? Faut il vraiment tout céder pour pouvoir faire de la bd?

  49. Il est élémentaire de respecter les volontés clairement énoncées d’un auteur. J’espère de tout coeur que cet album ne sera pas publié. Ce serait indescent.

  50. Conseil aux responsables éditoriaux :
    Vous voulez endiguer le phénomène manga ?
    Faites comme eux, proposez de la nouveauté, avec de nouveaux auteurs, de nouvelles histoires, de nouveaux héros, bref de nouveaux succès !

  51. Dupuis vise la jeunesse… la bonne blague !
    Tirage à 1.2 millions d’exemplaires = 1,2 million de lecteurs adultes nostalgiques.

  52. Grand fan de Gaston, je ne souhaite pas que de nouvelles planches viennent gâcher une oeuvre bien ancrée dans son époque.
    Un Gaston contemporain créerait une rupture chronologique choquante.

    Il nous restera au pire à ne pas acheter cette éventuelle nouvelle production, mais espérons que nous n’en arrivions pas là…

  53. Respecter le souhait de l auteur et createur, de quel droit le bafouer? M enfin! Voila pourquoi je signe!

  54. Franquin n’est plus ? Mais l’expression de son art et de ses volontés bien. Respect digne de celles-ci, exprimées par cet artiste génial, généreux, clairvoyant et profondément humain.

  55. Pas touche à Gaston ! C’est l’œuvre de Franquin, point. Il a crée son personnage et ne souhaitait pas qu’il soit repris après sa disparition. De mon point de vue, cela ne se discute pas. L’éditeur ne respecte pas sa volonté, je trouve cela triste et scandaleux.

  56. Seule Isabelle connait avec exactitude les intentions de son Papa .
    Et cela ne se discute pas.

  57. Le grand perdant de cette histoire sera probablement Delaf, bras armé d’un éditeur peu scrupuleux, engagé dans une histoire ou tout le monde la volonté de Franquin, et donc probablement grillé sur le long terme.

  58. Ce type de reprise (comme Blake et Mortimer, Corto Maltese, Asterix…) ne montre pas un manque de créativité, car de nombreux nouveaux albums sortent chaque mois. Mais cela montre que les éditeurs sont des banquiers avant d’etre des artistes: rentabilité avant tout, en transformant une oeuvre d’art en produit.

  59. ROGNTUDJÛÛ!!!!!
    Mais qu’est ce qu’il essait de nous faire!!!!!!!
    Monsieur Boulier a la manoeuvre encore!! une honte!!!

  60. Depuis quelques années Dupuis (Média Participations) se fait de plus en plus dangereux avec la gestion de son catalogue.
    En jouant avec la limite juridique tout en transgressant allégrement la morale, cet éditeur fait peur pour l’avenir des auteurs.
    Le pire c’est que tout cela est rendu possible par des auteurs… Mais qu’est ce qui a pris à Delaf ? Comment peut-on s’impliquer sincèrement dans un tel projet quand l’ayant droit n’est même pas tenu au courant et lorsqu’elle l’apprend s’y oppose ?
    Pourra – t – il sincèrement défendre son projet après cet épisode honteux ?

  61. Respectez la volonté d’un artiste.
    Je dirai même plus, respectez la volonté d’un défunt

  62. Respectez la volonté d’un artiste.
    Je dirai même plus, respectez la volonté d’un défunt.

  63. Le non respect du droit moral des auteurs, Dupuis, ça mérite une belle balle de bowling dans la tronche.

  64. André Franquin n’est pas une marchandise. Respectons le, respectons son oeuvre, respectons ses lectrices et lecteurs.

  65. Achille Talon, Alix ,Astérix et Obélix ,Boule et Bill ,Bruno Brazil ,Corto Maltese, Barbe rouge, Bécassine, Blueberry,Blake et Mortimer,Bob Morane,Bruce J Hawker,Buck Danny,Iznogoud,Lucky Luke,Michel Vaillant,Tanguy et laverdure,Thorgal,Tif et Tondu,les tuniques bleues,Ric hochet …
    Autant de séries que les maisons d’édition ne laisseront jamais mourir.
    Au-delà de l’irrespect des auteurs, c’est une honte à la créativité d’une industrie qui est pourtant au plus haut de sa diversité de contenu.
    On a beau critiquer les nombreux recours en justice de Nick Rodwell pour des raisons plus ou moins louables, ce n’est pas sous sa direction que Tintin tombera aux mains du premier dessinateur venu.
    Espérons que cet album de Gaston ne sortira jamais, cela serait un symbole fort pour les futurs tentatives de la sorte.

  66. tout à fait d’accord, c immoral de reprendre cette bd qui était formidable, que les auteurs d’aujourd’hui inventent des héros d’aujourd’hui, même s’ils s’inspirent de ceux d’hier…

  67. Laissons Gaston à Franquin, il a clairement indiqué ses volontées, je ne doute pas qu’un avocat puisse contourner/argumenter/ignorer la volonté du créateur et faire abstraction du respect de l’oeuvre, nous vivons après tout dans un monde qui ignore les valeurs les plus élémentaires au profit d’un merchandising aveugle. La maison d’édition qui à mis en valeur pendant des années les talents de Franquin devrait se regarder dans le miroir. Delaf est d’un talent immense et sans conteste, Dupuis ne le respecte pas non plus en lui donnant ce projet incensé. M’enfin!?!

  68. Déjà sidéré par le bazar autour de la fausse-vraie tentative
    de reprise des Tuniques Bleues avec Munuera et Beka (qui n’a échouée, je pense, que parce que Lambil est encore en vie), voila que Dupuis récidive (c’est plus pratique quand l’auteur est mort) en touchant à l’intouchable !
    S’il n’y a pas eu de Gaston depuis la mort de Franquin c’est qu’il y avait une bonne raison = les chefs d’œuvres sont immortels…

  69. Il n’est pas toujours possible pour tous les artistes de faire appel à un cabinet d’avocat coûteux pour protéger la pérennité de son oeuvre. Il faut respecter la volonté de Franquin.

  70. R-E-S-P-E-C-T !!! C’est une valeur que l’économie ignore, certes, mais il faut rappeler le cadre « bon enfant », « familial », du début de la BD chez Dupuis. C’est cela que vous étriquez, cette ambiance, ces souvenirs, tout cet univers forgé sur le plaisir du trait, la connivence entre dessinateurs, scénaristes et imprimeurs. Veuillez, s’il vous plaît, à respecter cela, à respecter votre histoire et les valeurs morales de vos artistes qui ont confectionné la vôtre par leurs labeurs et leur amour de la planche à dessins. Respecter-les, c’est vous respecter mais aussi respecter vos lecteurs, nous!

  71. Franquin a dit non ! Pourquoi vouloir passer outre si ce n’est pour des raisons purement mercantiles ?
    Gaston était le contraire absolu du du marketing tout puissant. Respect à son âme toujours vivante et à la mémoire de son créateur !

  72. Grand fan de Franquin qui ne veut pas de nouvelles album de Gaston Lagaffe , j’ai tendance a pensé que les héros de BD ne devrait pas avoir d’autres dessinateur que ce qui les ont créés , c’est mon point de vue et je l’assume.

  73. Lagaffe de Franquin devient plus qu’une faute de Dupuis à vouloir le faire revivre: un crime contre l’humanité même de Franquin. Et de son personnage. Gaston sans Franquin c’est comme si on tuait de nouveau: et Franquin, et Gaston.

  74. Franquin ne vous a-t-il pas rapporté assez d’argent jusqu’ici pour que vous envisagiez de bafouer ses volontés quand à la continuité de son oeuvre ?
    Ce serait pitoyable que vous en arriviez là et je pense que financièrement parlant, puisque c’est ce qui semble compter pour vous, cela pourrait s’avérer être un très mauvais calcul…

  75. Dans le cas où vous publieriez une nouvelle BD de Gaston Lagaffe, pour paraphraser Maurice Tillieux je dirais « Si vous avez besoin de quelqu’un pour ne pas l’acheter, vous pouvez compter sur moi »

  76. respect de la volonté exprimée par Franquin
    Gaston lui « collait » tellement à la peau aussi; l’œuvre est indissociable de son auteur

  77. Gardons aussi à l’esprit qu’un million d’albums de Gaston imprimés sans l’accord de Franquin, c’est aussi un million d’albums de nouveaux et futurs talents qui ne verront pas le jour dans un contexte éditorial difficile. On ne récompense plus le talents mais des administrateurs et des actionnaires.

  78. Si M. Franquin a catégoriquement refusé, respectez son droit. Les dessinateurs ne peuvent créer eux-mêmes leurs personnages? Laissez le classique et lancez les nouveaux talents. C’est honteux, je suis contre l’exploitation forcée de Gaston Lagaffe.

  79. Le Gaston de Franquin reste un chef d’œuvre unique et inestimable, toute tentative de reprise ne peut que le dénaturer.

    “L’écrivain original n’est pas celui qui n’imite personne, mais celui que personne ne peut imiter.” Chateaubriand.

  80. Je suis contre…Laissons Gaston à ses origines…Respectons son auteur…

  81. Gaston ne sera Gaston que sous le crayon de Franquin
    Doit-on bafouer et sacrifier le droit moral d’un auteur et qui plus du père de la BD franco-belge Mr Franquin sur le seul hôtel de l’intérêt financier et vénal de faire de l’argent facile .
    les éditions Dupuis feraient mieux de découvrir des talents et surtout les rémunérer de façon décente
    quoiqu’il en soit cet album ne franchira pas ma porte et ne viendra pas se ranger au sein de mes 6500 BD

  82. Je suis pour le respect du souhait de Franquin de ne pas autoriser la reprise de son personnage Gaston par une tierce personne servant les intérêts de la maison d’édition Dupuis.

  83. Je suis pour le respect du souhait de Franquin de ne pas autoriser la reprise de son personnage Gaston par une tierce personne servant les intérêts de la maison d’édition Dupuis.

  84. Une injure,un viol pour mon poète préféré vous n’avez pas le droit de procéder à un tel crime.
    Qui sont ces connards qui ne pensent qu’à l’argent.?
    Qui est ce dessinateur présomptueux et indigne, pense-t-il arriver à la cheville de Franquin. Paix à André et respect à Isabelle, son père serait fier d’elle, c’est une belle personne.
    Maintenant je vous laisse je pars acheter le nouveau Zola…

  85. Pérenniser une oeuvre ne consiste pas à lui faire vivre une « nouvelle vie » sous les traits d’une copie, aussi parfaite soit-elle.
    Le personnage de Gaston correspond au regard personnel de Franquin sur la vie. Personne ne peut ajouter quoi que ce soit à ce qu’il a exprimé… sauf lui-même.
    Respectons la mémoire de l’auteur et laissons les créateurs actuels créer leur propre réalité plutôt que de leur imposer un rôle de plagiaire.

  86. Je signe aussi évidemment.
    En affirmant que Franquin a « vendu les droits de Gaston », Dupuis commet un grosse erreur, ils confondent les droits patrimoniaux et le droit moral. Ils ont au contraire la responsabilité de respecter ce droit moral et d’appliquer la volonté de Franquin, qu’il a clairement exprimé. Je ne peux pas croire qu’ils ne sont pas conscients de cette confusion.
    Quand j’avais vu la première planche de Delaf, dans un numéro de Spirou en hommage à Gaston, j’avais admiré sa virtuosité, c’était très amusant et très bien imité. Je pense même que Franquin l’aurait apprécié à sa juste valeur. Mais ils auraient dû s’en tenir à cet hommage et éviter de dégrader l’oeuvre d’un tel artiste en prétendant la prolonger alors qu’il s’agit en fait d’une régression qui ignore l’évolution des scénarios et des dessins de Gaston sur plus de 800 planches.

  87. Reprendre Gaston ? Pourquoi pas Charlot ? Média Participation est un gagne-petit : au lieu d’oser le neuf et la création, d’encourager les jeunes talents, ils se racrapotent sur leur petit portefeuille d’actions. C’est minable. Et pis que ça, ça détruit la curiosité du public.

  88. On ne marche pas sur la décision d’un auteur. Gaston était le personnage de Franquin, point.

  89. Gaston est le bébé de Franklin…
    Sa fille a raison de défendre le respect de la volonté de son père.
    Poursuivre Gaston pour en faire du pognon.
    Les éditions Dupuis sont à ce point irrespectueux ? en manque d’idées ? En manque de talent ?

  90. Opposition totale à la reprise des aventures de Gaston. Je soutiens la fille de Franquin dans sa démarche légitime.

  91. Bonjour. Je suis d’avis de respecter la volonté des auteurs. Franquin ne désirait pas une renaissance de Gaston avec un autre dessinateur. Respectons ce choix svp. Pierre Buserie

  92. L’œuvre de Frankin, inégalée doit rester intransmissible. Nous sommes contre une reprise de Gaston par qui que ce soit

  93. En voila une très « mauvaise idée »!
    Si seulement on pouvait connaitre le nom de celui qui en réunion à dit « fuck Franquin, fuck la veuve … on va faire des pépettes et des dividendes » ….. et accessoirement aussi les noms de ceux qui ont applaudit puisque cette « mauvaise idée » a été validée.

    Messieurs de chez Dupuis , je pense que vous allez pleinement comprendre la signification et la portée de ce qu’est un Bad-Buzz 😉

  94. En tant que fan absolu de Gaston depuis plus de 40 ans, je ne puis concevoir qu’il soit, du point de vue de quiconque, acceptable d’envisager de faire revivre ce personnage sous la plume de qui que ce soit : l’ensemble de l’œuvre, tant dans l’esprit que dans le trait sont un reflet unique de son auteur original et toute tentative de revival ne pourrait aboutir qu’à un ersatz commercial de mauvais goût.
    Pour le sus, il est remarquable de constater que la tentative récente de porter cette œuvre unique à l’écran n’a pu donner naissance qu’à un navet, à des années lumières de l’esprit de l’œuvre originale.
    Message aux éditions Dupuis : si vous vous permettez ainsi de bafouer la volonté de l’artiste et, ce faisant, de manquer totalement de respect pour sa mémoire et son œuvre, je promets que plus aucun ouvrage sortant de vos presses n’entrera chez moi, livres ou magasines.

  95. Inventer lui un pot, un cousin…
    Mais Gaston est une caricature d’une vision de vie, d’un état d’esprit.
    Et ça c’est unique et personnel.

  96. Pour Gaston… et pour les autres. Ne devraient être reprises que les oeuvres dont les auteurs eux-mêmes ont choisi et formé leurs successeurs, afin que leur volonté, l’âme de leur(s) personnage(s) et l’esprit de leurs créations soient en tout point respectés.

  97. Une gaffe qui ne fait aucunement rire…
    Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite!

  98. Hors de question d’acheter cette bd… où est ke respect de Franquin ? Heureusement pour lui il n’a pas eu à subir le film…

  99. Pourquoi reprendre ce que d’autres ne voulaient pas voir continuer. Créez votre univers au lieu de piller les autres. Sachez que, comme beaucoup de fans de Gaston, si votre album paraît un jour, je ne l’achèterai pas et je ferai ce que je pourrai pour que personne ne l’achète autour de moi

  100. Pour le respect de la volonté d’un des plus grands auteurs du XXe siècle, comme pour le respect d’une oeuvre singulière, imprégnée de sa si particulière sensibilité.

  101. Pour le respect de la volonté des auteurs !
    Dommage que Franquin ait vendu sa propriété intellectuelle en signant chez Dupuis. Que ça donne à réfléchir aux autres créateurs qui ont signé avec cette maison d’éditions.

  102. Personne n’aura jamais le génie de FRANQUIN !
    N’y a t’il pas suffisamment de jeunes auteurs et dessinateurs de talent à publier avant d’utiliser Gaston comme une poule aux oeufs d’or ?

  103. Première citation (de Charles Péguy) qui apparaît sur internet à propos du mercantilisme :
    « Pour la première fois dans l’histoire du monde l’argent est maître sans limitation ni mesure. Pour la première fois dans l’histoire du monde l’argent est seul en face de l’esprit. (Et même il est seul en face des autres matières.) Pour la première fois dans l’histoire du monde l’argent est seul devant Dieu. »
    Or en matière de bande dessinée Franquin est Dieu, et Lagaffe est son prophète…
    Arrêtez de nous faire honte !

  104. spirou me désois
    je reverai mon abonement si cela abouti.
    respect de la mémoire pas de l’argent

  105. Irrespect total de ne pas exhausser ses dernières volontés. Qui plus est si sa famille ,ses ayants-droit, et les personnes qui l’ont côtoyé se liguent pour s’y opposer. Si cela se réalise, pour ma part, ce sera boycott de la même manière que pour le navet cinématographique que cela a inspiré.

  106. La honte totale!

    On en a marre de cette mentalité de m*** de vouloir faire du profit à tout prix, au détriment de toute valeur morale, artistique, humaine, au détriment du simple bon sens…
    Cette situation se retrouve partout dans la société actuelle, et jusque dans la BD: Qu’on arrête ça tout de suite!

    Le talent de Delaf est largement suffisant pour être utilisé à une création originale. Pourquoi ce plagiat organisé de l’oeuvre magistrale que Franquin a construite avec passion?
    C’est définitivement intolérable et scandaleux. Gaston c’est Franquin, point! Tout le monde le sait.

    Vous avez acquis les droits de rééditer ad vitam le Gaston de Franquin, c’est parfait et les lecteurs en sont ravis. Mais cela ne vous donne pas le droit de bafouer ses volontés. Quelle révoltante façon de remercier un auteur qui a fait votre renommée pendant des années!

    Si Dupuis persiste dans ce projet, j’en appelle à boycotter tout ce qu’ils éditeront dorénavant!
    Croyez bien que je ne serai pas le seul…

  107. En tant que lecteur-rêveur, j’aimerais certes que mes doudoux soient toujours des doudoux bien « vivants », avec des tas de chouettes nouvelles aventures. Mais en tant qu’adulte d’une part, et en tant que citoyen d’autre part, je sais tout le respect que je dois aux inventeurs et inventrices de ces personnages qu’iels m’ont permis de peupler mes rêves de gamin, voire encore d’adulte, et, par eux, d’avoir vécu des « réalités impossibles ». Ces personnages ne sont pas les produits d’une industrie, mais les créations d’un art. Respectez les auteurices, et par-delà leur inévitable disparition, leurs volontés.

  108. Il n’y a qu’un Gaston, celui de Franquin, avec l’âme, l’humour et la plume de l’artiste. Respectez les désirs de Mr Franquin qui, de plus ,a conservé ses droits.

  109. Le respect du droit moral d’un créateur doit être la règle absolue et tant pis pour les appétits mercantiles. Et puis, les resucées n’ont jamais été que des ersatz loin de l’esprit initial, à rallonger une sauce savoureuse, on la gâte. Gaston doit rester ce bon copain dont la mémoire nous est chère.

  110. De la même manière que « Madame Bovary c’est [Flaubert] », Gaston Lagaffe c’est Franquin et personne d’autre.

  111. Trop de gaffe de Lagaffe, et ils n’ont toujours pas compris. Un nouveau Lagaffe est un irrespect des volontés de son papa.

  112. Merci de laisser à César ce qui est à César.
    On se s’approprie pas des Léonard de Vinci à ce que je sache.
    De même pour Franquin pas touche à notre Gaston Lagaffe , marsupilami et autres.

  113. La riche personnalité de Franklin s’exprimait à travers ce Gaston et même par les « Idées noires » … Copier le personnage ne pourra jamais faire revenir notre ami Franklin. Il faut accepter d’en faire son deuil .

  114. Comme alternative : créez le(s) enfant(s) de Gaston, mais laissez Gaston et Franquin tranquilles 🙂

  115. Gaston a dû se retourner dans sa case et se ronger les phylactères en apprenant le projet de son cher éditeur.
    Mais quelle honte !!!
    Le respect de la volonté d’André Franquin est le socle pour continuer à apprécier, à sa juste immense valeur, cette œuvre unique.

  116. La reprise d’un personnage peut se faire selon un principe « d’adaptation » et développer des enjeux de création.
    Ici la reprise de Gaston dans la recherche stricte d’un style identique à celui de Franquin, et dans le contexte historique contemporain à son travail, n’est qu’un plagiat assumé.

  117. Il faut respecter les dernières volontés de l’auteur. Franquin aurait du faire mourir Gaston comme Cervantes l’a fait avec Don Quichotte (Idées noires de Gaston?) … Ras le bol des reprises, laissez la place aux créations originales!

  118. Gaston est l’oeuvre de son génial auteur Franquin, elle doit le rester pour toujours et à jamais. Le droit moral doit être respecté et appliqué.

  119. Gaston, c’est Franquin ! Il est intolérable de voir Gaston repris par un autre dessinateur !
    M’enfin !!!
    Encore un cas où la finance prend le pas sur les dernières volontés de l’auteur…

  120. Un jour viendra votre tour de quitter ce monde. Je vous souhaite que les personnes que vous laisserez respectent vos dernières volontés. Ainsi, vous pourrez reposer en paix. Ne faites pas à Franckin ce que vous ne souhaitez pas que l’on vous fasse.

  121. Zut Dupuis est le méchant de l’histoire, j’espère ne pas avoir à boycotter cette maison d’édition. Faudrait quand même pas que le « business » soit plus important que le respect des auteurs

  122. Franquin ne voulait pas d’une suite car Gaston Lagaffe c’est lui… La vraie gaffe serait de ne pas respecter sa volonté !

  123. Je m’oppose par la présente à l’idée d’un retour de Gaston Lagaffe en contradiction avec le respect et la volonté originelle de l’auteur.

  124. Gaston est Franquin et vice-versa. Quand j’ouvre une de ses BD, c’est les 2 que j’espère lire, c’est cette symbiose entre auteur & personnage qui me font rire, voyager dans le rire de la rédac au temps des télééphones fixes, des contrats papiers…. dans une forme de passé que seul Franquin a pu capturer…. dans ma mémoire de gamin. Je souhaite que cette symbiose persiste, avec tout le respect pour Delaf, je ne lirai pas sa BD

  125. bonjour, merci de respecter la volonté de Franquin… la parole écrite vaut un écrit surtout quand elle a été dite a plusieurs personnes en de multiples lieux.

  126. Pourquoi vouloir à tout prix poursuivre une série ?
    La question s’est posée avec Astérix. Non pas que je doute de la qualité du travail de Ferry et Conrad et de leur bonne volonté, mais ce n’est pas pareil, cela n’a pas le même sens …
    Pour Gaston Lagaffe, c’est la même chose.
    Laissez ces séries géniales au Panthéon du 9ième art, que chacun les lise comme des œuvres classiques à connaître comme du Molière.
    Croisons simplement les doigts pour que les auteurs d’aujourd’hui créent de nouvelles histoires aussi exceptionnelles.
    Longue vie à Goscinny, longue vie à Franquin !
    Et paix pour leur créations …

  127. André Franquin que j’ai un peu connu, croisé à plusieurs reprises et 2 courriers reçus témoignent de sa méfiance à l’égard des éditeurs et sa volonté de ne pas poursuivre l’aventure de Gaston après sa mort. Il avait déjà subi dans le passé, malgré la loyauté dont il a fait preuve à l’égard de l’éditeur qui l’a fait connaître, de nombreuses déceptions. Quoi qu’on puisse en penser, et je ne mets pas en cause le talent de l’auteur de la reprise initiée par Dupuis qui ne vise que la rentabilité de son entreprise. Objectivement, il est légitime et du devoir de l’éditeur de respecter le droit moral de l’auteur, d’autant que sa fille légitime soutient cette idée, il est inacceptable de refuser ce choix. Dupuis devrait plutôt se battre pour imaginer un autre personnage dans une autre série pour le remplacer. N’y a-t-il donc plus assez de talents pour de nouvelles créations…?

  128. Franquin ne voulait pas que quelqu’un reprenne Gaston Lagaffe. C’est une raison suffisante pour ne pas le faire. Par respect pour le grand maître de la bande dessinée belge, je vais donc ignorer ce produit de Dupuis.

  129. De la merde ce nouveau Gaston quand la médiocrité devient un art, comment un auteur peut se prostituer a ce niveau-là

  130. Gaston n’appartient qu’à Franquin et a disparu avec lui, tel était son souhait et ça se respecte envers et contre tout … surtout contre des intérêt financier et l’appétit d’un usurpateur qui tente de se faire un nom en volant la création d’un réel artiste !!!! … Honte à Dupuis d’avoir ne fusse qu’y penser !

  131. L’œuvre est trop personnelle, ce n est que vider le personnage de sa substance que de le confier à un autre auteur.

  132. Allez vous faire voir vendeurs du diable Dupuis ne fait que de la merde et du recyclage surtout avec leurs deux experts de mes coui..es

  133. L’oeuvre de Franquin n’a pas pris une ride. Rien ne sera jamais mieux que l’original. Donc STOP à toute nouvelle version

  134. N’acceptons pas que soit diluées les excellentes planches de Franquin parmi d’autres dont le seul but est l’argent. Tien de personnel contre M. Delaf qui n’y est pour rien

  135. Je ne veux pas que l’on reprenne Gaston, quand on voit ce qu’on a fait d’Alix !

  136. et Gaston, il serait d’accord d’avoir un autre papa ? Le dessin seul ne suffit pas, c’est l’âme que l’auteur lui a insuflé fait tout le sel des personnages de cette BD.
    Qu’un autre dessinateur reproduise avec fidélité n’est pas suffisant pour ne pas respecter le choix initial de cet auteur en relançant de nouveaux scénarios dans de nouveaux albums.
    Je m’associe et signe !

  137. André Franquin a exprimé clairement son refus que quelqu’un reprenne son personnage de Gaston et il est légitime et important de respecter sa volonté. Son oeuvre est unique et magnifique et complète, et je ne vois aucune raison, si ce n’est mercantile, que quelqu’un d’autre reprenne le personnage de Gaston.

  138. Bonjour,

    Je suis journaliste pour la radio RMC. Je prépare un reportage aujourd’hui sur le possible retour de Gaston malgré les volontés de Franquin. Si vous voulez apporter votre témoignage et expliquer votre position, je suis disponible au 06 03 12 66 69 ou par mail (altollinchi@rmc.fr). N’hésitez pas 🙂
    Très belle journée à tous et à toutes

  139. RESPECT
    Gaston est son œuvre, son”bébé”
    Il a toujours été très clair, de son vivant, que Gaston était son autre lui.
    Franquin n’est plus et donc Gaston non plus.
    C’est pas plus compliqué que ça !
    On ne demanderait pas à un peintre des continuer les œuvres de Picasso !

  140. Les volontés d’André Franquin sont bafouées…
    Comment la maison Dupuis peut-elle commettre cela?
    Elle n’a donc pas l’élégance de respecter son plus grand auteur?
    Avec lequel elle a déjà du pourtant « rentrer » beaucoup de devises….

  141. Admirateur de Franquin et de son œuvre depuis mon plus jeune âge, je suis choqué qu’on puisse ne pas respecter sa volonté de ne pas voir son œuvre reprise ou continuée par d’autres. De plus, je considère que cela constitue un grave précédent du point de vue du droit moral des auteurs. Et ce, indépendamment de la qualité intrinsèque des artistes qui prendraient en charge cette succession. Cela met en danger la notion même de droit d’auteur, déjà mise à mal par d’autres opérateurs peu scrupuleux.

  142. ’univers de Gaston est trop personnel pour être repris par un autre auteur aussi talentueux soit-il.

  143. Lecteur assidu de bandes dessinées, j’estime qu’il s’agit d’un sacrilège de toucher ainsi à l’oeuvre de Mr André Franquin, le plus grand auteur de bande dessinée et cela dans le seul but de remplir les caisses de Dupuis.
    Mr André Franquin a toujours refusé que Gaston Lagaffe connaisse une prolongation au-delà de son créateur et auteur. Respectez au moins ce souhait s’il vous plaît.

  144. Cette étrange affaire a pris une tournure très électrique. Je n’aimerais pas être à la place de Delaf, qui est pourtant un auteur très talentueux et respecté. Malheureusement pour lui, il devait se douter qu’il allait joué au feu avec les éditions Dupuis. Gaston et Franquin sont inimitables et indissociable. Franquin doit se retourner dans sa tombe. Je signe et re rerererereresigne cette lettre.
    Longue vie à Gaston sous les traits de ….. Franquin uniquement.

  145. Gaston est l’œuvre de Franquin et celui-ci ne voulait pas qu’il lui survive par l’intermédiaire d’un autre dessinateur. Alors il faut respecter sa volonté.

  146. Aussi imparfait qu’il soit Gaston avait le respect de Franquin. Franquin vous détestera. Gaston ne sera pas.

  147. Il y a des choses dont on veut garder un souvenir impérissable, sans suite. Gaston en fait partie.

  148. André Franquin était un immense auteur.
    Il ne désirait pas que son oeuvre, Gaston Lagaffe, soit reprise.
    Il faut respecter son souhait. Je suis donc contre le projet des éditions Dupuis que ce fabuleux personnage soit repris par d’autres auteurs.

  149. Gaston est un personnage trop proche de la vision personnelle de Franquin pour pouvoir être repris par quelqu’un d’autte sans le trahir.

  150. Dans ce cas-là aussi, non, c’est non.
    Y a pas à tortiller, à tenter de s’imaginer que oui, peut-être, ça pourrait dire oui aujourd’hui ; non, c’est non. Point.

  151. Pas touche à mon Gaston ! Passez votre chemin, allez salir ailleurs, ici, c’est sacré

  152. Respectons le droit moral du créateur et laissons Gaston vivre tranquille sa pte pension largement mérité 😉 !

  153. Comme si Dupuis n’avait pas gagné suffisamment d’argent sur le dos d’André Franquin …

  154. Ce n’est pas un nouveau Gaston qu’il faut sortir, c’est une bd, un one shot, dans laquelle Delaf et Dupuis ne parviennent jamais à signer ce fameux contrat avec la complicité éventuelle d’une mouette rieuse ou d’un chat espiègle.

  155. On ne doit pas toucher à une œuvre si l’auteur ne désire pas une suite après son décès.
    Cela a été la volonté de Franquin, comme celle d’Hergé

  156. Parce qu’on doit arrêter de faire passer le fric avant la propriété intellectuelle

  157. S’asseoir sur le droit moral d’un auteur est inacceptable. Franquin est d’autant plus grand que son humilité en tant qu’artiste n’a d’égal que son immense talent. Une œuvre a un commencement et une fin, l’accepter c’est rendre hommage à l’artiste.

  158. Laissez Gaston où il est avec son auteur comme il le désirait ! Il faut arrêter les ersatz et les adaptation foireuses qui détruisent l’oeuvre (comme par exemple cette adaptation lamentable au cinéma…)

  159. Je vous signifie ma desapprobation quand a Donner une seconde vie à Gaston. L auteur a un droit sur l oeuvre qu IL a Cree. Respecter sa decision est plus que morale. IL existe des artists qui ouevrent de manière mercantile.. Là nous parlons de volontés d un Mort.. Qe la maison d edition se concentre a reediter l oeuvre leur Sera plus benefique que de stimulus des erzats…

  160. Pour le respect des volontés d’André Franquin. Contre une logique commerciale éditoriale tournée exclusivement vers le profit a tout prix au détriment de la création et de la qualité.

  161. Pour le respect des volontés d’André Franquin. Contre une logique commerciale éditoriale tournée exclusivement vers le profit a tout prix au détriment de la création et de la qualité.

  162. Respecter la volonté de Franquin !
    Respecter l’esprit d’un personnage !
    il y a plein de reprises qui laissent une impression de deception… ce n’est plus le même personnage…
    Je vous en prie, ne faites pas ça à Gaston !

  163. Comme pour Hergé, Franquin ne veut pas. Et si Dupuis persiste, il faudra tout simplement boycotter l’album

  164. Il faut respecter les auteurs, Franquin avait de son vivant appris à Batem comment dessiner le Marsupilami, pour Gaston il a toujours dit qu’il préfèrerait ne pas y avoir de repreneur. Même s’il y a de l’argent en jeux, les éditions Dupuis doivent respecter André Franquin, et annuler cette publication, ils sent sortiront grandis.

  165. Si Franquin de son vivant avait passé la main à un autre auteur, j’aurais dit bravo, mais ce n’est pas du tout le cas. Respectez André Franquin, et apprenez à respecter vos auteurs, sans qui vous ne seriez rien. Merci.

  166. Gaston c’est Franquin et respect envers sa mémoire.
    Je suis contre le retour de Gaston.

  167. Une création est immortelle et irremplaçable. Gaston n’a qu’un seul créateur : Franquin !

  168. Reprendre Gaston alors que l’auteur ne désirait pas que quelqu’un d’autre le reprenne est un manque flagrant de respect de la volonté de l’auteur, ce n’est donc pas moralement légal.

  169. Mais pourquoi est-il de nos jours apparemment si compliqué d’imaginer de nouveaux personnages de BD ?
    Et pourquoi s’entêter à le faire malgré le souhait des créateurs ?

  170. Respectez les volontés de Franquin ! C’est une honte de votre part de ne pas assurer son désir et tout ça pour l’argent. Grrrrr

  171. Je signe pour le respect du droit moral et de la volonté de l’auteur de ne pas voir son œuvre « reprise ».

  172. Je soutiens que la volonté d’un auteur prime en fonction de la primauté du droit moral. Je suis étonné de la décision des éditeurs de ne pas respecter ce droit et rejette fermement cette création mercantile, cette resucée inutile d’un travail accompli et clairement délimité at son créateur et unique auteur jusque-là.

  173. Soutien au respect de la volonté de l’auteur de ne plus voir son personnage ne plus être édité dans de nouvelles aventures après son décès.

  174. Pour que les volontés de Mr Franquin soient respectées, je signe cette lettre.
    Et Merde au pognon et ses dérives
    Si vous avez, ne fût-ce qu’un soupçon de respect, abandonnez ce projet.

  175. Frédéric Jannin a mille fois raison : respectez la volonté d’André Franquin et renoncez à reprendre Gaston Lagaffe.

  176. N’allez pas pisser sur la tombe de Franquin. Que vos avides actionnaires aillent se faire du blé avec d’autres personnages qui restent à créer, mais ne touchez ni à Gaston ni à la volonté de son créateur.

  177. Les droits moraux des artistes devraient être sacrés.
    De plus, comme l’affirment des personnalités réputées, l’auteur a indiqué clairement plusieurs fois ne pas souhaiter une reprise du personnage par quelqu’un d’autre.

    Enfin, cette reprise tardive est ridicule car le monde a changé en quarante ans. Aujourd’hui, Gaston ne serait jamais engagé par les service de ressources humaines (des jeunes femmes intéressées par « The Voice » et David Jeanmotte) et serait jeté par du chômage par l’ONEM. Il finirait au CPAS victime de racisme anti-blanc par des « assistantes sociales » haineuses qui le harcèleraient impunément, avec la bénédiction des démocratiquement élus, notamment « socialistes ». Gaston, déçu et amer, n’ayant même plus de quoi se payer de la Cara Pils, finirait ostracisé par les bobos d’Uccle ou Saint-Gilles à cause de ses propos élogieux envers l’œuvre d’Alain Soral.

  178. Je partage le point de vue de Janin et souhaite défendre le droit aux artistes de voir leur desiderata concernant leur œuvre, respectés.

  179. Ayons du respect pour l’auteur et ces volontés, ainsi qu’aux droits moraux de sa fille !!!

  180. Malgré le fait que nous aimons tous beaucoup Gaston, et aimerions le revoir, il faut respecter les dernières volontés de Monsieur Franquin.

  181. Ce projet de nouvelles planches de Gaston doit finir comme la plupart des contrats de De Mesmaeker : en papillottes et avec les jurons appropriés, rogntudjû.

  182. Gaston ne mérite pas d’être dénaturé et victime de ce qui ne peut être qu’une pâle imitation. L’art de Franquin est unique et doit le rester.

  183. Le respect de la volonté d’une personne est importante. Respectez alors le souhaite de Franquin et arrêter le projet actuel et/ou futur de Gaston !

  184. Respectez la volonté de Franquin.
    Gaston est une oeuvre trop personnelle pour pouvoir être reprise par quelqu’un d’autre. Gaston, c’est Franquin.

  185. J’étais au début choqué en tant que fan qu’on reprenne Gaston Lagaffe, le trouvant incontournable de son auteur. Car l’un est l’autre ne font pour moi qu’un. Mais j’ignorais les souhaits de Franquin, donc je soutiens en tant que fan sa fille qui veut qu’on respecte ses souhaits. Je souhaites que cela va faire changer la décision des éditeurs. Quoi que si c’est aussi mauvais que pour les Astérix ou les Lucky Luke, fait part d’auteur que leur créateur, cela n’aura pas le succès escompté.

  186. Franquin ne voulait pas qu’on « reprenne » Gaston. Il ne faudrait pas que l’esprit de lucre amène à ne pas respecter ce souhait.

  187. Je suis d’accord avec Fred ici. On doit respecter la volonté de l’auteur et ne pas en faire une pseudo usine à fric.
    De tout coeur avec Madame I. Franquin et Fred Jannin.

  188. M’Enfin … non c’est non, point final.

    Je suis choquée et blessée qu’on oblige Isabelle Franquin à défendre les mémoires de son père et Gaston devant les tribunaux.
    De tout cœur avec vous Mme Isabelle Franquin.

    En espérant que Franquin et Gaston puissent reprendre leur repos éternel le plus rapidement.
    Par respect, il faut que la partie intimée cesse de vous tenir tête et éviter un procès.

  189. En tant que fan absolu de Gaston mais aussi de Franquin, je veux que sa volonté et son droit moral soient respectées.

  190. Pour le respect des dessinateurs et contre les « reprises » de personnages de bandes dessinées. Jusqu’ici cela n’a pratiquement donné que des désastres.

  191. Bon sens et respect devraient vous guider! Merci de respecter la volonté de Franquin.

  192. « Je ne veux plus voir déambuler cet énergumène et son zoo dans les couloirs. Merci de respecter les volontés de Franquin. Cordialement – Joseph Boulier, chef comptabilité

  193. L’heure de la retraite à sonné pour Gaston. Pour le bien de chacun, c’est mieux qu’il puisse goûter à un repos bien mérité.

  194. L’argent ne peut pas tout mener ! Merci de respecter les volontés de l’artiste de décider du sort de son œuvre !

  195. Désolé pour la loi et les conventions qui auraient été signé de son vivant, je trouve inadmissible de monétiser le travail d un artiste après son décès… par respect pour l homme, par respect de son œuvre et surtout ne pas l entacher d on ne sait pas quoi…

  196. M’enfin !!! On aime rigoler mais où est le respect ?
    De tout cœur avec vous Isabelle

  197. Pour le respect de l’oeuvre de l’artiste , le respect de l’artiste tout simplement .

  198. Gaston c’est tout l’esprit de Franquin.
    Le personnage ne peut pas fonctionner sans son esprit.
    Une reprise risque de nuire à l’oeuvre mère.
    C’est pour çà que je m’y oppose par respect surtout
    à la volonté d’André Franquin.

  199. Gaston Lagaffe, c’est Franquin . Restons sur cela et ne tentons pas une catastrophe annoncée d’avance …
    Respect de l’auteur

  200. Le droit moral de l’auteur, autrice sur son œuvre, sur ses créations est primordial.
    Le bafouer est un manque total de respect, tant pour l’auteur, autrice, que pour son travail créatif.

  201. Le simple respect d’un auteur devrait peser bien plus dans la balance que les intérêts bassement mercantiles d’une maison d’édition !!!

  202. Ça y est alors, Monsieur De Mesmaeker est arrivé à les faire signer ses fameux contrats !?

  203. Toute ma colère et mon profond sentiment de trahison de la part de Dupuis, lorsque, abonné depuis des décennies, j’ai assisté, pantois, à ce pitoyable « retour », nonobstant le (trop) scrupuleux travail de copiste effectué par Delaf, se retrouve dans le texte ci-dessus. Je tiens néanmoins à insister encore sur le fait qu’à ce stade de mimétisme graphique, de plus revendiqué, on peut raisonnablement parler de plagiat, lorsque on constate que chaque attitude, mouvement, mimique de chacuns des personnages a été décalquée, reproduite par ordinateur après encodage de milliers de dessins originaux. Il s’agit là d’une démarche inédite et particulièrement dérangeante, dans la mesure ou elle tend à créer la plus grande confusion possible entre la copie et l’original, et non à valoriser celui-ci.

  204. ‘Signerai jamais pour des nouvelles aventures de Gaston. Par contre, je signe résolument la pétition pour fiche la paix à Gaston et préserver sa vision du monde inimitable.

  205. Personne ne pourra égaler Franquin!
    le cinéma a déjà souillé sa mémoire, laissons-le tranquille.

  206. Un éditeur qui se dit promouvoir le travail d’un auteur ne peut pas fouler ses dernières volontés.

  207. Gaston est Franquin. Toute reprise n’est qu’un triste jeu de marionnettes.

  208. Il faut respecter la volmonté d’André Franquin qui a plusieurs fois déclaré qu’il ne souhaitait pas que son personnage Gaston Lagaffe soit un jours dessiné par un autre dessinateur.

  209. Gaston est lié à Franquin par cordon ombilical
    Que chacun se préoccupe de son ou ses propres « nombrils » et les œuvres seront bien gardées.

  210. Cette affaire, prouve que les éditeurs (disons « certains » pour rester positif) n’ont que faire de la volonté de leurs auteurs. Il faut à tout prix empêcher cette reprise scandaleuse.

  211. Gaston est né en 1957 comme moi, voilà pourquoi il est inconcevable qu’un nouvel album soit publié… Si vous considérez que c’est une raison insuffisante, vous pourriez vous souvenir que Franquin était un génie au talent vertigineux, qu’il aimait tendrement Gaston et ne voulait pas qu’un autre le dessine.

  212. L’auteur doit être respecté tant de son vivant qu’après sa mort. Le fait que les éditions ne respectent non seulement pas sa volonté mais non plus les héritiers vivant est une honte et doit être sanctionné Gaston est un chef d’œuvre qui doit lui aussi être respecté

  213. Ne faites pas la gaffe ultime, laissez franquin tranquille. Il n’est pas reproductible.

  214. Est-ce si difficile de respecter les dernières volontés de M. Franquin? Vous devriez avoir honte. J’ai lu et possède tous les albums de Gaston Lagaffe et soyez assurés qu’aucun autre ne viendra s’ajouter à ma collection.

  215. Même si légalement vous avez les droits pour le faire, il existe un devoir moral de respecter la décision de l’auteur de ne pas continuer Gaston avec un autre dessinateur. Toute publicité, même mauvaise, est de la publicité, vous l’avez visiblement bien compris, mais s’il vous plaît, respectez maintenant les volontés de Franquin !

  216. Le droit moral ne peut être détourné à des fins éditoriales et/ou lucratives. Ne pas respecter les dernières volontés d’un auteur revient à trahir sa mémoire et notre engagement envers lui.

  217. L’auteur a dit non. C’est assez clair. Il faut le respecter.
    Vous avez tout mon soutien.

  218. Franquin est unique , notre ami Gaston est unique . Personne ne pourra reproduire ce merveilleux esprit.

  219. Considérant que dessiner Gaston ne pouvait être réalisé que par Franquin, je m’oppose formellement à toute « reprise » du personnage de Gaston ainsi que son « environnement » (Tous les autres personnages ainsi que les décors…) par d’autres dessinateurs ! ) .

  220. Dans un monde où faire du fric est considéré comme l’atteinte du Nirvana, comment s’étonner qu’une entreprise fasse passer les valeurs éthiques et morales après les aspects commerciaux.
    Seule, l’atteinte à l’image, qui peut être pénalisante pour un éditeur, comme pour toute firme commerciale, peut faire reculer devant une fronde, non seulement d’auteurs mais aussi de lecteurs.
    Admirateur depuis toujours de l’oeuvre de Franquin, qui, pour
    moi, valait voire dépassait celle d’Hergé, la nouvelle de la sortie
    d’un nouvel album de Gaston m’a laissé pantois et surtout révolté.
    A quand la suite des Misérables ou des Rougon Macquart , les nouvelles enquêtes de Rouletabille ou du commissaire Maigret?
    N’y a t-il plus d’esprit de création que pour toujours copier?

  221. Tout à fait d’accord ! Gaston n’est pas qu’un BD c’est ausssi et avant tout l’esprit d’un auteur et quel auteur !

  222. Ça va être du n’importe quoi si quelqu’un d’autre va se mettre à faire du Lagaffe

  223. Reprise de la série par un autre auteur, contrairement à la volonté de Franquin? … m’enfin!

  224. L’œuvre d’André Franquin, et plus spécialement celle mettant en scène Gaston Lagaffe, est l’héritage que Frankin nous laisse.
    Personne n’a le droit de détourner celui-ci à son profit.
    Ni un dessinateur, ni un éditeur.

  225. La volonté de Franquin avant tout. Je déplore aussi les adaptations cinématographiques lamentables.

  226. Comme dirait si bien Léon Prunelle … Rogntudju !
    Mettons-nous tous ensemble pour initier une complicité, sans faille, entre ce dernier, Gaston Lagaffe et amis animaux* pour faire « capoter » la signature des contrats …
    Gaston confectionnera une morue aux fraises à la mayonnaise et aux câpres pour fêter cela si réussite.
    Miam 😉
    * HIHIHIAAAAAÂÂÂRR

  227. Je signe. Pour le respect des auteurs, de leur travail, de leurs volontés exprimées clairement … Et puis il y a un principe que tout le monde de la bande dessinée doit, ou plutôt devrait connaître : on ne touche pas à Gaston ! Gaston c’est Franquin, et ça ne peut pas être dissocié. Désolé pour Delaf, mais il aurait dû lire quelques interviews de Franquin avant de se lancer…

  228. Il me semble évident que la volonté clairement exprimée d’un auteur sur la postérité de son oeuvre devrait être respectée sans discussion… Ceux qui ne comprennent pas ça sont probablement des imbéciles; ceux qui font semblant de ne pas comprendre sont certainement des charognards. Donc je signe.

  229. Je signe. Je ne remets pas en cause les qualités graphiques du dessinateur, loin de moi cette idée mais Gaston sans André Franquin et son « esprit particulier », pourquoi ?

  230. Gaston est une part de Franquin. Il est impossible de le faire revivre sous une autre plume. S’il nous manque, relisons ses albums et rions à gorge d’employé…

  231. Il y a longtemps que le journal Spirou a été dénaturé par les éditions Dupuis. Il fallait certes évoluer mais tomber dans la bassesse commerciale a été sa fin pour moi.
    Quant à Gaston, il ne peut exister sans Franquin. L’auteur a donné sa verve « contestataire » et son inventivité « loufoque » à son personnage et Gaston ne peut exister sans lui. Et puis il y a les « signatures », ces mini-gags a eux seuls dessinés à la fin de chaque page ou de chaque strip.
    Maître André Franquin est parti et personne ne peut galvauder ses personnages et ses idées.

  232. Très cher monsieur « O ». Sachez que vos remarques, aussi stupides qu’inopportunes dans le cadre de cette pétition, n’intéressent que vous. Prétendre que Delaf a autant de talent que Franquin prouve votre ignorance crasse des choses du dessin, de celles de la BD et, plus globalement, de la chose artistique. Plus grave, vos propos imbéciles constituent une insulte envers André Franquin. Aussi vous conseillerai-je d’éviter de me croiser un jour où je suis de mauvais poil.
    Je vous laisse à vos Placid et Muzo et autres Bibi Fricotin, et vous invite chaudement à ne plus jamais parler de choses auxquelles vous n’entravez strictement rien. Et j’en profite pour re-re-re-signer cette lettre ouverte.

  233. Le respect de l’oeuvre, passe inévitablement par le respect de son auteur. La protection du droit moral est une chose, la considération des désirs d’un auteur par rapport à son oeuvre en est une autre. Peut-être même la plus importante et davantage encore lorsqu’on se rappelle combien André Franquin, mû par cette gentillesse légendaire, serait blessé d’apprendre que SON Gaston va vivre de nouvelles péripéties.
    La honte plâne désormais sur les Éditions Dupuis qui, pour le bédéphile que je suis depuis plus de trente ans, n’aura plus jamais la belle image qui entretenait ma passion !

  234. Tout est dit. Je n’ai pas d’autre commentaire si non mon approbation titale

  235. Et vous Philippe O, qu’avez-vous apporté à la bande dessinée ? À part cette opinion péremptoire condamnant l’éclectisme de Franquin – un réel travers il est vrai, c’est vrai quoi zut ! Totalement impardonnable de sa part d’avoir participé aux nouveaux projets qui l’inspiraient plutôt que de bégayer pour votre plaisir régressif. Vous regrettez qu’il n’ait pas commis davantage de gags tout en condamnant son activité publicitaire (sans qu’on sache bien pourquoi) – pour autant les planches Philips ou Piedbœuf sont autant de gaffes supplémentaires venant enrichir avantageusement la bibliographie de Gaston. Paradoxe quand tu nous tiens… On me chuchote dans l’oreillette que ces digressions n’ont absolument rien à voir avec le sujet, qu’Isabelle Franquin remplit précisément son rôle en défendant le droit moral dont elle a hérité (et sans l’ombre d’un doute attendait fébrilement vos conseils avisés sur la façon de le faire), et qu’enfin les jeunes et moins jeunes peuvent pleinement retrouver Gaston dans les albums de Franquin qui n’ont jamais cessé d’être édités et restent évidemment tout à fait disponibles. (On pourrait enfin disserter sur ce besoin inexplicable de vous étaler au sujet d’une cause à laquelle vous n’adhérez pas, mais ce serait probablement oiseux.)

  236. Hé bien je ne vais pas signer ! Franquin avait du génie, c’est vrai. Mais Delaf aussi. Franquin a aussi commis des pubs assez nulles avec Gaston. Et s’il ne s’était pas dispersé (aventure Tifou et autres dessins animés…) on pourrait sûrement rire à bien d’autres gags de Gaston. Quant à sa fille, qu’a-t-elle apporté à la BD ? RIEN ! Nada ! Le néant ! Alors qu’elle aille cultiver la mémoire de
    son père par le biais d’expos et qu’elle permette aux jeunes et moins jeunes d’aujourd’hui de retrouver Gaston !

  237. Pour que les droits moraux des auteurs – morts ou vifs – soient respectés.

  238. Je signe en tant qu’admiratrice de Franquin qui doit pesteler devant ce non sens où qu’il soit. De quoi ajouter des idées noires à ceux qui veulent qu’on respecte son souhait

  239. Gaston est l’oeuvre d’André Franquin qui s’est opposé de son vivant à ce que son personnage lui survive.

    Telle est la volonté d’un défunt et elle doit être respectée.

    Il est des oeuvres qui peuvent être reprises et d’autres non.

    Gaston fait partie de ces oeuvres trop personnelles qui serait galvaudée, et ce malgré le talent d’un éventuel repreneur, si elle venait à être reprise.

    J’espère sincèrement que sa fille obtiendra gain de cause face à une décision de l’éditeur uniquement commerciale et mercantile…

  240. Je rejoins cette levée de bouclier. J’espère que Dupuis reviendra sous de meilleure intention et comprendra que Gaston Lagafe sans Franquelin, ce n’est pas du Gaston Lagafe

  241. Juste pour ajouter ma petite particip’Action-média en guise de signature ^^, avec en lien un petit mot sur le sujet. Il y a tellement de richesses à (re)découvrir dans les planches de Franquin que c’est comme si Gaston se réinventait tout seul à chaque fois qu’on relit un gag. C’est inépuisable, pas besoin d’y greffer autre chose…
    Mais ça ne m’empêchera pas, tout comme Dany et d’autres l’ont fait, de saluer le grand talent de Delaf. Surtout pour dessiner des Nombrils.

  242. Veuillez respecter la volonté des auteurs et ne continuez pas avec Gaston Lagaffe. La première blague publiée dans Spirou magazine n’était même pas bonne… Ne détruisez pas une série qui était très bonne pour des blagues copiées et/ou retravaillées pour gagner de l’oseille sur le dos d’un auteur respecté et malheureusement décédé.

  243. Par respect pour l’œuvre de Franquin, nous avons décidé de bafouer ces volontés.
    On y va au culot! Gnark gnark gnark.

  244. J’ai toujours entendu Franquin dire qu’il ne voulait pas que quelqu’un reprenne Gaston après lui . C’était d’autant plus clair que, par contre, il avait choisi et formé Batem pour reprendre le Marsupilami .
    Cela dit, quel talent , ce Delaf !

  245. Je soutiens cette initiative qui défend la mémoire et les volontés de Franquin. Un personnage de BD n’est pas un produit commercial.

  246. Le droit moral est une des particularités remarquables du régime du droit d’auteur en France et en Belgique. Il convient de le respecter absolument, qui plus est plus lorsqu’il correspond à la volonté de l’auteur exprimée de son vivant. De Mesmaeker ne dirait pas autrement…

  247. Personne n’égale un Maître : le plagier démontre le peu de talent et d’imagination du ou des contrefacteur(s).
    Eviv Niuqnarf !

  248. Les volontés d’un homme d’hier ne doivent pas devenir les brumes d’aujourd’hui !
    De ses simples et claires envies, c’est à nous de respecter ses dernières et définitives volontés sans poser de questions ! Gaston est à lui et reste à lui, comme un ami, une urne ou une pierre tombale… Nous le regardons en ses angles différents et l’apprécions toujours avec respect malgré ses bêtises ! Une belle histoire a un commencement, un milieu et une fin. Le plaisir superbe est dans le retour aux souvenirs ! Bravo toutefois à ce dessinateur qui a un talent remarquable !

  249. Voici enfin un document que Monsieur De Mesmaeker peut signer

  250. si on laisse passer cela aujourd’hui, c’est la porte ouverte à d’autres abus !

  251. Le droit moral existe, il faut donc l’appliquer. Les volontés de Franquin semblent limpides.

  252. Admirateur de toujours de l’oeuvre d’André Franquin et du travail de celles et ceux qui l’ont jusqu’ici perpétuée avec amour et talent, je soutiens absolument cette pétition.

  253. Si tels étaient les souhaits de Franquin, ayez la décence de les honorer!

  254. Je suis contre la reprise du personnage de Gaston Lagaffe par un autre dessinateur tout aussi talentueux serait il ! Personne ne pourra égaler Franquin pour le dessin de son Gaston et des personnages qui l’entourent dans ses aventures.
    Il est inconcevable de passer outre l’avis de l’artiste ou l’auteur et d’usurper sa création.

  255. et allez ! encore un qui veut jouer les Frankenstein ! on prend Blake et Mortimer … un bon coup de jus et le tiroir caisse redémarre ! et là ,c’est au tour de Gaston ? ça viendrait à l’idée de qui de vouloir ramener à la vie Marie Curie pour voir si elle a quelque chose à apporter à la recherche scientifique !? Gaston est très bien là où il est ! bien calé dans ma mémoire entre mes Légos et mes résultats scolaires minables ! qu’un prétentieux se pointe avec l’ambition de faire mieux ou aussi bien que  » bravo les brothers  » et , Rontudju ! je le boxe !

  256. L’oeuvre d’André Franquin appartient au monde de la poésie. Gaston, héros hors normes, est indissociable de l’esprit de son auteur. Le prolonger revient à le singer, et à le réduire à un produit com-
    mercial, ce qui est en contradiction totale avec l’esprit de son créateur.

  257. Je reste immanquablement du côté de l’auteur, qui DOIT toujours avoir raison, et le dernier mot.

  258. Joseph Boulier, le brigadier-chef Longtarin et Monsieur de Mesmaeker implorent Dupuis d’arrêter cet acharnement injuste à leur égard !

    Je signe.

  259. Respecter les auteurs, c’est respecter tout la chaîne du livre. Je signe sans une seconde d’hésitation.

  260. Ah sinon, je connais un mec qui fait très bien des faux Picasso.
    Et à ma connaissance, Picasso n’a jamais affirmé qu’il interdisait qu’on reprenne son oeuvre après sa mort.

  261. Quelle qu’en soit la qualité, il ne peut pas y avoir de copie de Gaston. Certains personnages le permettent . Gaston pas. Il est le reflet et l’âme de son créateur. C’est parce qu’il le savait mieux que quiconque que Franquin refusait l’idée d’une résurrection de Lagaffe par des auteurs qui ne seraient pas… lui, tout simplement. Il faut respecter cette volonté. Et respecter les lecteurs qui ni ne veulent, ni ne supportent l’idée de voir renaître un Gaston qui n’aurait pas l’ADN du vrai. Car, en fait, ce serait un faux Gaston. Et ça, non, ça ne passe pas. On en a marre des contrefaçons. Un éditeur ne peut que se grandir en respectant la vérité d’une série qui lui a beaucoup apporté. Alors, famille Dupuis, respectez la famille Franquin.

  262. Je signe. Franquin a déclaré à mon micro le 19 août 1996:
    « S’il fallait, en vieillissant, préparer ses dernières volontés, je dirais vraiment « Ne faites jamais dessiner Gaston par quelqu’un d’autre! »
    Je n’aimerais pas du tout faire dessiner Gaston même par un très bon dessinateur. » CQFD.
    Qui plus est, Delaf fait tout ce que Franquin détestait par dessus tout: du copié-collé. C’est abject.

  263. Respèctons le désir de ce génie de Mr Franquin,et pas la soif de ce faire du pognon.
    Non mais.

  264. Franquin ne souhaitait pas que son personnage Gaston Lagaffe soit repris. Il a dit à plusieurs reprises et repris dans bon nombre de publications de presse. Au contraire du Marsupilami dont les rennes avaient été confié de son vivant à Batem.
    Cet album n’est pas mon Gaston. C’est un Gaston Canada Dry : ça a couleur du Gaston, ça ressemble à du Gaston mais ce n’est pas du Gaston…

  265. Le fric, le fric, et encore le fric. Franquin ne voulait pas. Que l’on respecte sa volonté. Ses gags se lisent avec un sentiment d’éternel. Je l’ai toujours connu, je relis et rien n’a pris une ride! C’est une oeuvre complète. Point barre

  266. Ik ben tegen deze open brief.
    Guust is al vercommercialiseerd en een franchise; denk aan al beeldjes, pixi’s, prints, litho’s, t-shirts, horloges, wekkers en oneindig veel andere prullaria. In het verleden hebben andere ook aan Guust getekend (o.a. Jidéhem) en hebben anderen de grappen bedacht. Nu zich een fantastische nieuwe tekenaar zich aandient om nieuwe Flaters te tekenen is dat eigenlijk een logisch vervolg van de hele hier voorgaand beschreven commercialisering/franchise. Franquin zou de eerste zijn geweest om Delaf van positieve feedback te becommentariëren en zijn talent de hemel in te prijzen! Gaston reviert! Guust for ever!

  267. Je signe ! Et je demande que la volonté de l’auteur soit respectée. Il y a assez de sources de profits à faire. Ayez un peu d’imagination.

  268. Je ne comprends même pas que l’idée de violer la volonté explicite d’un auteur puisse effleurer l’esprit d’un éditeur. Surtout quand on connaît les liens entre Gaston et son papa. Gaston sans Franquin n’a aucun sens. Il n’y a donc absolument que l’argent qui compte ? Pourquoi ne pas plutôt favoriser la création ?

  269. Ik ben zeer nieuwsgierig naar dit nieuwe album. Delaf is een genie. Maar wat op het eerste zicht een goed idee lijkt, is bij nader inzien een pijnlijke zaak aan het worden voor alle betrokkenen. Om situaties als deze in de toekomst te vermijden, zeg ik ook STOP, en hoop ik dat uitgeverijen hiervan leren dat de nabestaanden deel uitmaken van het beslissingsproces.

  270. Je suis persuadé que l’éditeur, le dessinateur et la plupart des autres contributeurs à ce projet de reprise ont découvert Gaston dans leur enfance
    Il serait sage qu’ils se souviennent de tout ce qu’ils doivent au génie de Franquin et qu’ils respectent sa volonté
    Je signe

  271. Je regrette cette appropriation mercantile comme d’ailleurs la direction généralement peu inventive du bd bizness actuel.

  272. André Franquin était un artiste prodigieux et un homme d’une qualité humaine rare. Pour tout le bonheur qu’il nous a donné et qu’il continue de nous donner, il faut respecter sa volonté de ne pas prolonger Gaston

  273. Par respect pour le génie de Franquin, par respect pour le personnage et sa nature profonde, Gaston ne doit pas être repris, tout simplement.

  274. Est-il envisageable de faire passer le respect de la volonté d’un grand artiste avant les histoires de gros sous ?

  275. Il faut respecter le voeu d’André Franquin, c’est la moindre des choses !!!!

  276. Au-delà de la froide question juridique, mettre en place cette espèce de clonage, c’est aussi piétiner la vision poétique, fraternelle et humaniste du monde qu’André Franquin déploie dans les pages de Gaston Lagaffe.

  277. Les contrats de reprise sont solides et a deux doigts d’être signés. Je soutiens donc la reprise.

  278. Le respect de la volonté des auteurs est un pan essentiel du droit d’auteur.

  279. Oui pour le Gaston de Franquin mais non à l’ersatz de Delaf bien que je respecte son travail !

  280. La volonté de l’auteur plutôt que celles des marchands du temple. Merci d’avoir la dignité de respecter la parole d’André Franquin en renonçant à votre projet de reprise de Gaston Lagaffe.

  281. Et moi je rétorque à ce M. « G » que son commentaire stupide – qui prouve son ignorance des choses du dessin et de l’art en général – n’a pas sa place ici.
    Et j’en profite pour re-re-signer

  282. Sans commentaire particulier. Je respecte le travail de Delaf, on le sent animé d’un grand respect envers Franquin. Malgré cela, il denaturera forcément Gaston, et donc Franquin lui-même. Ce n’est pas supportable.

  283. Ce que Franquin souhaiterait aujourd’hui, personne ne le sait ni ne peut le deviner. Ce qui est sûr, c’est qu’il a toujours dit de son vivant qu’il souhaitait que Gaston ne soit repris par personne. Pour moi, le débat s’arrête là.

  284. André Franquin a vendu ses droits commerciaux à Marsu Production qui a recéder les droits à Dupuis. C’est du commerce pur. Par contre André Franquin a plusieurs fois déclaré qu’il ne souhaitait pas que son personnage Gaston soit repris un jour par un autre dessinateur. Un souhait à respecter!

  285. Je préfère les êtres vivants aux momies. Les cathédrales ont été construites par plusieurs générations de maîtres d’œuvre. Et les cimetières sont remplis d’indispensables. Je suis donc favorable à la reprise de Gaston.

  286. Les arguments de MediaParticipation / Dupuis concernant cette reprise sont fallacieux. Ils disent qu’ils font cela pour que les jeunes générations connaissent Gaston (et accessoirement relancer les ventes des albums de Franquin)…
    OK mais alors pourquoi ancrer Gaston dans les années 70/80? Les jeunes ne s’y reconnaitrons pas. Et pourquoi demander à Delaf de copier le style de Franquin? Les jeunes s’en foutent, ils ne connaissent pas Franquin. Tout cela me parait absurde.
    Prenons en exemple ce qu’à fait le journal de Spirou à la fin des années 70 en republiant les Félix de Tillieux. Si l’intégrale des Félix par l’Elan a pu aller au bout cette fois-ci, ça n’est pas grâce aux nostalgiques des Heroïc Albums mais plus probablement grâce à ceux qui tout comme moi ont connu Félix à travers les rééditions dans le journal de Spirou.
    Donc pour relancer les ventes d’album et faire découvrir le Gaston de leur parents/grands-parents aux jeunes générations, il suffit de republier dans le journal les Gaston de Franquin. Ça serait plus cohérent et surtout plus respectueux pour cet auteur.

  287. Une reprise de Gaston ne m’enchante pas, mais ici, il est surtout question du respect de la parole de son créateur et de son ayant droit. Développer une reprise pendant plusieurs années sans avertir l’ayant droit est un choix assumé de vouloir passer en force, ce qui m’insupporte. De cette manière, l’éditeur ne protège pas non plus Delaf qui se retrouve dans une situation complexe. Je suis atterré par la méthode.

  288. Bonjour Messieurs les éditeurs, j’ai déjà ici et là manifesté mon horreur par rapport à cette nouvelle d’une reprise de Gaston, sur le principe économique ça se tient, et c’est uniquement la raison économique qui vous guide s’abriter derrière des raisonnements du genre on va toucher un nouveau public me fait doucement rigoler. En voyant le profil de l’éditeur en charge on comprend qu’on a affaire à un mercantile très concerné par sa prime de fin d’année beaucoup moins par l’esprit de la BD et de celle de Gaston où il n’a pas sa place. Les règles de savoir-vivre aussi semblent lui être étrangères on le voit dans la façon dont il traite Isabelle Franquin. Par ailleurs les premières planches communiquées ne sont pas tant critiquables au niveau graphique qu’à un niveau plus profond comment un auteur canadien (contre qui je n’ai rien) peut-il rendre l’esprit bruxellois ou à tout le moins franco-belge de l’univers de Franquin. Je ne peux que souhaiter un jugement qui remette cela en place et serve de jurisprudence par rapport à ces abus éditoriaux . Profondément outré par cela je vous dis haut et fort que cet album ne passera pas par moi et que je ferai ce qu’il m’est possible pour qu’il aye le moins d’écho possible.
    Yves Demay aka Professeur Y, journaliste, chroniqueur BD, ancien libraire, amateur de choses justes .

  289. Messieurs les actionnaires, évitez cette ultime gaffe !
    Avoir les droits (et donc le droit avec soi) ne signifie pas avoir raison.
    Soyez raisonnables !
    En tout cas c’est pas drôle.

  290. Gaston a partagé une tranche de vie avec beaucoup de personnes. Il était et est toujours attachant.
    Soyons respectueux des volontés de son créateur et papa, on lui doit bien ça ! Si dommage de se perdre dans des considérations purement de profit !!

  291. Même si le dessin est respecté, l’humour et l’inventivité de Franquin,est unique. Gaston était son double, son interprète. S’il a désiré qu’on ne reprenne pas Gaston qui est sa création, il faut respecter ses volontés. Vendre ses droits sur les albums réalisés n’est pas vendre la propriété des personnages. Je ne doute pas du talent de Delaf mais au delà du dessin, c’est l’esprit qui compte. Vu les résultats lamentables du film réalisé sur Gaston, je crains vraiment voir l’âme de Franquin incarnée en Gaston disparaître et pour les jeunes, il faut qu’ils découvrent Gaston dans les originaux, c’est indémodable et très actuel.

  292. Les juges sont tous corrompus. Ils ne sauront pas régler l affaire correctement. Pas confiance en la justice des hommes. Je signe.

  293. L’attitude de « Dupuis » est une manière plus ou moins déguisée de formater la bande dessinée au gré des modes mercantiles. En perdant, avec ce triste Gaston totalement inutile sauf pour les portefeuilles de quelques actionnaires incapables sans doute de lire autre chose que les cours de la bourse, son âme, l’éditeur Dupuis montre urbi et orbi que son seul souci est la quantité et plus la qualité!

  294. Franquin à suffisamment été exploité de son vivant par la société Dupuis. On peut le laisser reposer en paix

  295. Le droit moral ne doit jamais être bafoué. Gardez le Gaston Lagaffe de Franquin tranquille selon ses voeux. Personne n’a l’esprit et la grâce qu’avais Franquin.

  296. Gaston n’est pas une pompe à fric! Aller à l’encontre des volontés de Franquin est méprisable. Aucune opération de relations publiques ne parviendra à faire oublier la bassesse des vos intentions purement pécuniaires.

  297. André Franquin a tenu ces propos dans une interview radiophonique :
    ”S’il fallait, en vieillissant, préparer ses dernières volontés, je dirais vraiment « ne faites jamais dessiner Gaston par quelqu’un d’autre !  » Je n’aimerais pas du tout faire dessiner Gaston même par un très bon dessinateur.”
    On doit respecter un monument comme Franquin , Gaston n’est pas un produit,c’est une œuvre !

  298. Il y a tellement d’auteurs nouveaux et talentueux à publier. Pourquoi adapter… de plus un génie inimitable du 9eme art !

  299. J’ai eu la chance de rencontrer André Franquin..
    Et c’était un homme génial par ses qualités humaines et de générosité par sa modestie…
    Il est anormal que ses dernières volontés soient ainsi bafouées au nom de la rentabilité des droits acquis sur ses créations!!!
    Ce serait une insulte à sa mémoire…
    Le respect, vous connaissez encore ce que ça veux dire?

  300. Le respect de l’auteur et de sa mémoire passe avant les bénéfices possibles, c’ est une question d’éthique.

  301. Respectons la volontè de l’auteur ! Le fric, toujours le fric, un 0eu de dignité !

  302. N’y a-t-il pas assez de jeunes auteurs qu’il faille aller pier le passé ?

  303. Gaston n’a pas l’apanage des gaffes, semble-t’il ! Laissez à André Franquin son compagnon préféré…

  304. Il faut respecter la volonté de Franquin… du coup, moi, je fais pas comme de Mesmaeker : je signe !

  305. Le respect et l’oeuvre d’un.e auteur.e ne peuvent être sacrifiés au nom du profit.

  306. Peux-t-on, pour un coup commercial, remettre en cause la valeur des droits moraux d’un auteur ou d’une autrice?
    C’est un peu comme faire changer l’affectation d’une zone verte pour la construction d’un centre commercial…
    … bien dommage!

  307. Dommage pour Delaf, mais il es impensable de ne pas respecter la volonté de Franquin !

  308. Je signe, pour la volonté infiniment respectable de Franquin de préserver son univers autour de Gaston et je dis bravo à Delaf, moi qui n’ai jamais réussi à dessiner un Gaston ressemblant. Je suis scotché par son exploit mais qui aurait dû rester une expérience d’artiste – exceptionnelle – , hors circuit commercial.

  309. Respect de l’auteur qui a jugé que sa création n’avait pas besoin de continuateurs pour être immortelle.

  310. Faites comme le veuf Tintin, vendez des statuettes et des serigraphies, ça devrait largement vous suffire à gagner un tas de fric !

  311. Profit, rentabilité, économie, dividende, enrichissement … où est le plaisir

  312. Je signe à deux mains et plus si j’en avais la possibilité physique !

  313. Très choqué de découvrir l’annonce d’un nouveau « Gaston ».
    Même si cela devait être aussi génial que l’original, ce dont je doute, c’est une initiative indéfendable sur le plan des droits d’auteurs et parfaitement immorale au regard du vœux explicite de Franquin.
    À fuir !

  314. Je serais vraiment triste de voir un autre Gaston. Il aurait perdu son âme. Ne pas respecter la volonté d’une personne , cela s’appelle un sacrilège.

  315. Je signe. Et si jamais cela devait sortir, les médias ne devraient pas en faire la promo et les lecteurs pourront boycotter cette BD !

  316. Cela n’a aucun sens, si ce n’est sous l’aspect mercantile et donc vénal!!! Il s’agit de respecter la comonté du dessinateur et auteur . Même avec un avis uniquement verbal.

  317. Respect des auteurs, indispensable.
    Encourager les nouveaux auteurs à créer de nouveaux « héros « …

  318. Le respect des auteurs consisterait d’abord à ne pas « remplacer » leur BD par des importations de produits nippons. 40 % des ventes de BD sont des mangas.
    D’autre part, cette lettre et ses commentaires sont plein de bons sentiments mais ce n’est pas avec ça qu’on change les choses. Si le monde du travail devait se gérer comme celui « des artiss’ de la BD » il y aurait tous les jours des bagnoles en feu dans les rues.

  319. Gaston est un produit d’un homme et d’une époque. Il est le prolongement de son auteur, son double. Il est ancré dans une réalité.

    Plutôt que de réchauffer des plats, fussent ils succulents, Dupuis devrait stimuler les jeunes auteurs à venir avec de nouveaux personnages, de nouvelles idées et un nouveau public.

  320. Bien au-delà de la violation cynique et décomplexée de la volonté de Franquin, cet acharnement à maintenir en vie des œuvres dont les auteurs sont décédés depuis longtemps, pour des raisons purement financières, est une aberration qui mène la BD à sa perte. Pas de prise de risque, pas de renouvellement : rien que des valeurs sûres, dessinées par des valeurs sûres pour un public captif, emmuré dans sa nostalgie. Rentable à court terme, mais suicidaire à long terme.

  321. Avec une petite pensée pour Delaf qui va probablement perdre 5 ans de travail, au nom de la créativité, de l’humour et la préservation du patrimoine, je signe.

  322. En TOTAL accord avec ce « coup de gueule » parfaitement légitime !!!

  323. La volonté d’André Franquin doit être respectée. Gaston appartient à la famille Franquin. Je signe, en mémoire de Monsieur Franquin et avec mon immense respect.

  324. Je signe sans hésitation et soutiens le combat juste de l’héritière d’André Franquin. La morale prime sur le pouvoir de l’argent. C’est une juste reconnaissance de l’immense talent du « da Vinci » de la BD. Personne ne saura copier, rendre l’âme, l’humour de ce personnage… le sens de l’observation de Franquin, son humanisme sont dans chaque dessin et commentaire…

  325. Vladimir Poutine menace Marcinelle de graves répercussions en cas de publication d’un nouvel album de Gaston Lagaffe : « Niet Gastonski », a t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Champignac. Il est 15h lorsque Vladimir Poutine pénètre dans la salle de presse, suivit d’Isabelle Franquin et de Philippe Capart, les organisateurs de cette conférence de presse. Un journaliste de la Libre Belgique pose une question et se rendort aussitôt : monsieur le Président pensez-vous que nous aurons un bel été ? Philippe Capart tente une réponse mais le président l’interrompt : « toi aller chez coiffeur ou moi envoyer toi en stage à Marioupol ». Isabelle Franquin intervient à son tour et nouvelle interruption du président Poutine : « Femme pas parler, faire vaisselle et s’occuper enfants ». Soudain, incident dans la salle, un journaliste du Soir qui souhaitait aborder la question des droits humains, lâche une caisse odorante et est immédiatement arrêté par le service d’ordre du Kremlin. 15h10 la conférence se termine sur un mot du président  » moi toujours préféré Tintin Milou », au premier rang, éjaculation spontanée de l’avocat de Dupuis qui est aussi celui de Moulinsart. ( authentique)

  326. S’il ne voulait pas que quelqu’un d’autre continue son oeuvre, il faut tout simplement le respecter et ne pas passer au dessus de sa volonté.

  327. L’art de Franquin étant inimitable en ce registre précis et la volonté de l’auteur ayant été manifestée, je signe !
    PS
    Il y a des reprises artistiquement productrices de sens (accord du créateur, réinvention du héros ou élargissement de celui-ci), comme celles d’Alix (Senator, pas l’autre) par Mangin, de… Spirou par Bravo (qui porte TB son nom !) ou de Daredevil par Miller, mais d’autres, la plupart, sont désespérantes.
    Oserait-on refaire du Botticcelli ou du Picasso ?

  328. Je signe et par là je soutiens tous les créateurs de plus en plus considérés comme de la marchandise

  329. L’éditeur ferait mieux de rechercher les nouveaux talents au lieu de surexploiter cette œuvre. Par respect de l’artiste et de sa volonté, je signe.

  330. Considérer des œuvres comme des ressources, exploitables jusqu’à la disparition totale de leur sens. Quelle tristesse pour tous, et quel déshonneur pour l’éditeur.

  331. Le droit moral est inaliénable et sans limite de temps. Son simple respect éviterait d’en arriver là.

  332. Les editions Dupuis, pour fêter leur centième anniversaire font caca sur le respect et la mémoire de l’auteur à qui ils doivent très certainement une grande partie de leur renommée : André Franquin. Il a animé le journal Spirou pendant près de 50 ans avec un Spirou emblématique et un Gaston iconique. Il n’a demandé qu’une seule chose, que Gaston reste son œuvre, sans reprise. C’est maintenant totalement bafoué. Une honte.

  333. Je n’ai pas la prétention de savoir ce que Franquin aurait penser mais le droit moral est la base du droit droit d’auteur, le respect de l’intégrité des artistes, donc oui soutien total.

  334. Pfff que de solennité que de sérieux dans tous ces textes et réponses.. Franquin s’il nous voit doit bien se marrer.. ou pleurer 🙄

  335. Etant également éditeur, il est essentiel de rappeler que sans les autrices et les auteurs, il n’y a plus de livres et leurs volontés doivent être systématiquement pris en compte.

  336. Je rajoute mon nom à cette liste tant je trouve scandaleux que le fric passe avant les volontés d’un auteur. Comment ne pas penser que c’est de l’argent sale, vraiment immonde.

  337. Veuillez laisser cette série dans l’état où vous l’avez trouvée. SVP. Merci.
    Bom

  338. Contrairement à Spirou, Gaston n’a jamais été franchisé et il y a certainement de très bonnes raisons !

    C’est l’histoire d’un éditeur qui se tire une balle dans le pied … Et si on danse ?

  339. Tout est bon de faire du flouze,ça doit être un coups demesmaeker et de prunel,et vu que gaston bosse plus il va pas faire de gaffes.
    De tout cœur avec la mémoire de franquin

  340. En tant que lecteur, j’apprécie les hommages mais pas la poursuite de la série.

  341. Ok, je suis et que Geluck ne s’inquiète pas pour son CHAT, si je devais lui survivre, je m’emparerai d’un autre animal, un CHIEN par exemple, non pas SNOOPY, une autre qui remuera sa queue quand il est content ! Un auteur ça se respecte, même avec humour, ça se respecte, surtout ses dernières volontés.

  342. Il est grand temps de prendre un peu de hauteur, de vous distancer d’un mercantilisme cynique, arriviste et sans âme et de montrer à ceux qui vous font vivre que vous les respectez. Le monde de l’édition, ce n’est pas une ferme à visons, les gars. Retrouver le chemin de la collaboration et de la confiance avec vos auteurs vous grandirait. Franquin a été sans appel et la politique du fait accompli « à la hussarde » est indigne de Dupuis. Les auteurs qui sont sensé vous confier l’exploitation de leur création attendent autre chose de vous. Il est pressant pour tout le monde de retrouver un climat plus sain et plus serein dans le monde de la Bande Dessinée. Vous avez les moyens d’y contribuer. Je signe.

  343. Beaucoup de commentaires ici sont centrés sur l’immense André Franquin que je vénère ; ce n’est pourtant absolument PAS le sujet ici, qui est le respect du droit d’auteur, pour tout le monde indifféremment ce qui est l’esprit même de la loi (je vous invite à vous documenter)
    Je n’aurais jamais imaginé que le (non) droit à l’américaine puisse s’inviter en France du fait de l’éditeur qui a bercé ma jeunesse, mais cet éditeur est mort depuis bien longtemps (et plusieurs fois)
    Alors un peu de rappel sur ce droit, malmené depuis des décennies grâce à l’invention perfide et malodorante des « droits voisins » -rien que l’intitulé devrait suffire à comprendre de quoi il retourne- et au glissement sémantique abondamment nourri qui conduit désormais la majorité de la population je pense à assimiler les deux.
    Or il n’en est rien, l’auteur a toujours tous les droits moraux sur son œuvre, et malgré tout le respect que j’ai pour Delaf et sa propre et très originale -au sens « unique »- œuvre personnelle, je ne lirais ni n’achèterais son ou ses Gaston, pas parce que je serais un vieux con (c’est le cas lol) mais parce que j’aurais le sentiment de participer à la mise en pièce du peu qui reste du droit d’auteur originel. Cela ne servirait pas les lecteurs, et encore moins les auteurs qui sont déjà dans une merde noire pour la plupart.

  344. Admiration et reconnaissance pour le Travail (de scan de Delaf, bel effort, je pense au type qui a dû bucher pas mal!) Je me porte partagé sur un « gentleman agreement ». Vous publiez ce truc, Isabelle F. touche ses €€€ et puis après, STOP! (de grâce STOP! NADA!!!) Y ‘A plus Gaston!!!…. Et puis on arrête et voilà! Et tout le monde est content! Le bon sens, non? M’enfin?

  345. Admiration et reconnaissance pour le Travail (de scan de Delaf, bel effort, je pense au type qui a dû bucher pas mal!) Je me porte partagé sur un « gentleman agreement ». Vous publiez ce truc, Isabelle F. touche ses €€€ et puis après, STOP! (de grâce STOP! NADA!!!) ‘A plus Gaston!!!…. Et puis on arrête et voilà! Et tout le monde est content! Le bon sens, non? M’enfin?

  346. Respecter l’œuvre c’est respecter son auteur/autrice.
    Point.
    #idéesnoires

  347. Éditions comme auteur copieur doivent se poser la question de la valeur du respect d’un artiste et de son œuvre dans sa globalité. Le manque d’imagination, de créativité et financier ne peuvent en aucun cas justifier l’appropriation de l’œuvre d’autrui, surtout s’il s’y est clairement opposé de son vivant.

  348. Je ne sais pas pourquoi il me vient des idées noires.
    Respect pour la volonté du créateur et de l’auteur intangible.
    Je signe

  349. Je signe et ce malgré le respect que j’ai pour le travail de Delaf, aussi doué soit-il, lui ou un autre, ne fera jamais que du sous-Franquin. Gaston c’est une idée, une philosophie, une âme, par un autre, l’âme n’y sera jamais.

  350. Oui je signe car je suis auteur de BD et avec mon scénariste on ne veut pas qu’un jour on reprenne nos œuvres pour en détourner le sens comme pour Corto Maltese et d’autres

  351. Je signe, d’autant que Gaston a déjà fait assez de gaffes comme ça, et je ne suis pas sûr que de ressusciter soit son meilleur gag.

  352. Respect de la volonté de l’auteur, respect du droit d’auteur, respect de l’artiste.

  353. Je signe également. Il faut respecter le droit de non usage commercial demandé par Franquin

  354. Je signe. Gaston Lagaffe est unique en son genre . Ne le clonons pas. Respectons son créateur.

  355. Cette manie des éditeurs à vouloir à tout prix, des séries, pour l’unique raison de vouloir pérenniser ses dividendes, montre d’une part, que la création est de moins en moins une donnée prise en compte.
    D’autre part, vouloir figer un personnage dans un style dit « classique » n’a aucun sens, surtout pour Gaston, dont l’évolution graphique a été constante.
    Il serait tellement plus intéressant de privilégier la création, plutôt que la naphtaline…

  356. Certes je signe, et j’espère que ce petit gribouillis électronique pourra servir la cause du respect moral d’un artiste et de son œuvre, mais j’imagine que les oreilles des éditions Dupuis seront plus sensibles aux 1.200.000 exemplaires qu’ils ont projetés de vendre…
    C’est donc sur ce terrain là que l’action peut impacter, que chaque album vendu coûte aux éditions plutôt que lui rapporter.

  357. Normal ! Soutien total par mon humble paraphe,
    Au créateur illustre de Gaston Lagaffe…

  358. Que disent les libraires à ce sujet ?
    Auront-ils plus de respect pour l’auteur en refusant de vendre ce livre ?

  359. Ce litige déborde largement du cadre strictement légal du droit d’exploitation sauvage, cruel, malheureusement naturel. En agissant contre le droit moral, nous fragilisons la reconnaissance de l’œuvre, de l’autrice/l’auteur qui en est la créatrice, le créateur. Reconnaissance qui a mis plus d’un siècle à s’extraire de l’exploitation odieuse. Nous ne pouvons nous permettre de revenir à une époque où la volonté de la créatrice, du créateur était soumise au bon vouloir des détenteurs des droits qui ne leurs appartiennent que par l’exploitation odieuse. Justice, état de droit, démocratie : Je signe – Laurent Vanhaelen

  360. Ma signature vous est acquise de tout cœur et sans la moindre hésitation !

  361. Idée vulgaire (quelle que soit la qualité du repreneur).
    Irrespect du créateur.
    Trahison d’une dernière volonté.
    Je signe.

  362. Réponse à Frank Pé :
    contrairement à ce que laissent entendre vos élucubrations, André Franquin n’a en rien participé à mon premier album (si ce n’est, bien sûr, au travers de son style graphique dont je me suis fortement inspiré). Je vous prierai donc de ne pas mêler le nom de ma série à vos remarques désobligeantes. Désobligeantes pour Isabelle Franquin, qui, de mon point de vue, est beaucoup mieux placée que vous pour savoir ce que désirait ou non son père, et désobligeante envers Franquin lui-même, qui a toujours clamé, y compris devant moi, qu’il refusait catégoriquement que Gaston soit repris par qui que ce soit.
    Et j’en profite pour dire une nouvelle fois :
    Je signe !

  363. Je ne comprends pas comment on peut manquer à ce point de sens de l’honneur face à la volonté légitime d’une personne. Le fait que ce soit Franquin ne change rien sinon effectivement à faire de son œuvre un produit de consommation. N’y a-t-il personne parmi les decideurs chez Dupuis pour éviter ce lamentable gâchis d’irrespect ? Un peu d’intelligence ou à défaut de lucidité s’il vous plaît.

  364. Et oui, le business est prépondérant à l’art et pas que dans la BD : voir la banane du con, il y a peu. Angoulême n’est-il pas le salon des éditeurs plutôt que des auteurs ?

  365. L’œuvre d’André Franquin atteint un tel sommet dans la perfection que je vois très mal une reprise en arriver là. Ce n’est sans doute pas le but de l’éditeur non plus. Par respect pour le génie de l’artiste, je signe.

  366. L’auteur doit toujours pouvoir garder le dernier mot sur son œuvre.
    Je signe à deux mains !

  367. Je signe aussi ! Violer la volonté exprimée d’un auteur revient à violer sa mémoire, et témoigne du plus grand irrespect. Il y a d’autres moyens de se faire du fric (parce que c’est bien là le seul et unique but) sans insulter les morts. Je m’insurge contre cette vision purement vénale et je boycotte dès à présent l’éditeur.

  368. Plutôt que de tenter sans fin d’étirer -sans talent- les chef d’oeuvres d’hier jusqu’à les vider de leur substance, le rôle des éditeurs devrait être celui de découvrir ceux de demain.

  369. Il faut savoir laisser les personnages de papier aux auteurs d’origine qui donnaient vie et magie.

  370. La volonté d’un créateur, surtout de l’envergure de Franquin, doit prévaloir sur l’envie d’imprimer de l’argent à tout prix.

  371. Merci aux personnes ayant rédigé ceci, avec intelligence et respect. Si tout le monde en faisait de même, nous ne devrions même pas signer ceci.
    En attendant, je signe!

  372. Je signe, vous avez l’obligation de respecter les demandes de cet auteur qui vous a déjà ( et encore) bien fait assez gagné d’argent, Gaston, c’est franquin!

  373. En voilà, très franchement, assez!
    Cette époque est celle des opportunistes de tous poils capables des pires choses pour simplement faire du fric.
    DUPUIS est devenu semblable à toutes les autres sociétés commerciales sans âme, sans éthique, sans respect. Cette équipe, qui a pris une décision aussi contestable, est tout simplement méprisable.
    Je sais que la honte est devenue obsolète. C’est dommage, elle aurait pu étouffer!

  374. La volonté de Franquin était claire, pas de Gaston après lui.
    Merci de la respecter.

  375. Tout à fait d’accord avec cette lettre ouverte…bafouer ainsi la volonté des auteurs pour des motifs purement financiers est une honte! Personnellement, je n’achèterai pas ce nouveau Gaston!

  376. ah ok, c’est pour cela que tout le monde écrit « je signe », les commentaires sont obligatoires, ahlalalala. Au-delà du droit moral, il y a des choses qui sont tellement personnelles qu’elles sont impossible à reprendre. Beaucoup de gag de Gaston, si on les raconte à haute-voix, c’est pas vraiment drôle, c’est le dessin qui fait tout. Même si on connait par coeur, on relit, on sait comment ça se termine et…crénom zut on rigole!
    On sait pas reprendre le Gaston de Franquin, c’est impossible, ne fusse que les sujets abordés et tout, on va d’office en faire une caricature et Delaf le dessinateur aurait du en être bien conscient. Bref, commentaire obligé: j’espère que j’ai réussi à être le plus long. En résumé je signe (et j’ai dans ma tête une liste de 2-3 choses qu’on ne sait pas reprendre…il y en a déjà au moins une de reprise, mais l’auteur était d’accord. j’ai pas lu ça m’intéresse pas )

  377. Comment peut on bafoué la mémoire de franquin d’une façon tellement éhontée ?!

  378. Réduire l’art de la bande dessinée (et en l’occurrence un de ses plus importants représentants) à un ensemble de codes graphiques et de mécanismes narratifs, qu’on pourrait digérer, répéter, et reproduire comme autant d’objets reproduits en usine… revient à nier cette nature dite artistique, pour la réduire à un « produit manufacturé ».

    Ainsi, aimer Gaston, c’est lui reconnaître au fil des centaines de pages, une lente évolution du trait, de la technique, de l’époque, du point de vue de son seul auteur.

    Sans en rien vouloir blâmer les artisans copieurs (ni réduire leur prouesse), ils se réduisent alors eux-même à être l’outil de cette dégradation de statut de l’œuvre originale, car elle la réduit aux yeux des lecteurs non avertis au rang de formule à reproduire, et non du miracle qu’elle était jusque là.

    « Un lion qui imite un lion est un singe »

    Victor Hugo

  379. Je signe ! Il m’est insupportable qu’on outrepasse la volonté d’André Franquin et qu’on bafoue sa mémoire.
    Tout cela pour une vile histoire d’argent. Honte aux éditions Dupuis.
    Boycott !

  380. Ceci n’est pas le Lynchage de Delaf, ceci est le Respect de Maitre Franquin. Merci de ne rien lâcher, et d’être vraiment là-contre.

  381. Je signe.
    Les éditeurs, comme de bons industriels de notre temps vont rechercher ce qui marche déjà et pas l’innovation. Pourtant, je ne pense pas que l’innovation soit rare. De nombreux jeunes (et moins jeunes) créateurs de talent sont au chômage, mais on préfère reprendre un personnage existant malgré l’opposition de son auteur de son vivant et de ses ayant-droits, actuellement.

  382. C’est le propre de l’irrespect… Que ce soit Franquin dans le cas présent mais d’autres intolérances quant à la liberté d’expression d’autres artistes !
    Je signe !

  383. Signé, évidemment. Non à la course au pognon, oui au respect des autrices, créatrices auteurs et créateurs.

  384. Faire passer la motivation commerciale avant l’artistique, c’est ce tirer une balle dans le pied. Et mettre les ayant-droits devant le fait accompli est un non-respect absolument abominable, c’est pourquoi je soutiens Isabelle Franquin dans la défense de son bon droit. Gaston m’a tellement ému d’une manière tellement unique que la moindre tentative de remplacement ne pourrait être qu’irrespectueuse.

  385. Ce n’est pas faire honneur à la bande dessinée et à Franquin en particulier, de traiter une oeuvre aussi personnelle que Gaston, comme un produit.

  386. Je signe.

    En plus de bafouer le droit moral, ce genre de « reprise » empêche l’émergence de nouvelles œuvres originales.

  387. Je signe.
    Utiliser une idée, une oeuvre sans respecter les droits de son auteur est un deni de démocratie. Tout simplement.
    Respect à nos créateurs, auteurs, artistes !

  388. Je signe bien sur. Les ayant droits moraux doivent avoir le pouvoir de dire oui ou non. Sinon, çà sert à quoi

  389. Le respect, c’est la base !
    Je signe comme nombre de personnes, que j’admire, avant moi…

  390. Je signe aussi.
    Les auteurs doivent être respectés. C’est une question morale.
    Le droit moral dout être respecté. Allez, on dit toujours qu’il faut respecter les dernières volontés… respectons les alors… laissons créateur et œuvre mourir ensemble…

  391. La vraie question est: est-ce que Demesmaecker finira par signer, lui aussi?

  392. Laissons Gestion à Franquin.
    Chers auteurs de BD créez pour nous de fabuleux nouveaux personnages…

  393. Je plussoye et signe des deux mains en applaudissant des deux autres… 😉

  394. Je signe évidemment, et si vous êtes curieux exceptionnellement ne l’achetez pas : piratez le !

  395. Grand fan de Gaston et de toute l’œuvre de Franquin depuis toujours, j’ai mal digéré cette sortie d’album! C’est vraiment nul et sans intérêt…
    Je signe donc ! Pas seulement pour cette situation par rapport à Franquin mais pour tous les auteurs, dessinateurs, scène artistes etc…

  396. Fan depuis 50 ans d’Andre Franquin, je respecte ses volontés.
    Je l’ai suivi dans toutes ses aventures de Noël et l’Elaouin jusqu’au Marsu.
    Je signe révolté contre cette usine à Fric qu’est devenu cette société !!

  397. Je pense que le simple fait qu’il y ait une telle levée de boucliers devrait inviter à approfondir la question. Autoriser la publication d’un ouvrage que les vrais fans réfutent, que les ayants-droits réfutent, devraient inviter la Justice à (se) poser les bonnes questions. Il paraît évident que seul l’aspect pécuniaire motive aujourd’hui la publication d’un nouvel ouvrage.

  398. L’Esprit de l’œuvre de Frankin ne peut pas tomber dans les mains des marchands du temple, ils ne sauraient qu’en faire. Je signe, œuf corse !

  399. Quand des gens que j’aime (c’est mieux que j’admire) signent comme Jannin ou Geluck.. je ne peux que signer! Eviv niuqnarF!!!

  400. Une œuvre appartient à son auteur, la reprendre dans un but commercial sans le consentement de celui-ci est un manque de respect ! 😡

  401. Je signe, il convient d’empêcher la signature de ces innommables contrats dignes d’un De Mesmaeker …

  402. Il est inconcevable pour une maison d’édition tel que Dupuis, d’avoir eu en son temps un génie en ses murs, de l’avoir essoré jusqu’à la dernière goutte pour obtenir planches sur planches sans répis, d’obtenir par deux fois sa démission, et aujourd’hui, malgré les nombreuses interviews de Franquin sur le refus de succession de gaston, se permettent encore une fois de plus de bafouer la mémoire de cet homme.
    JE SIGNE.

  403. Ma position : en ce qui concerne ce genre de situation – reprise de personnage ou univers après la mort du créateur – j’ai le réflexe de me situer, quand je le peux, au plus près de l’ESPRIT du créateur initial.
    J’ai suffisamment connu André Franquin pour sentir que sa réponse, de son vivant, se serait basée avant tout sur le talent du repreneur ( ce qui s’est passé avec Joe Bar Team et Batem d’ailleurs ).
    En l’occurrence, même si Dupuis et Média se frottent les mains pour le coup commercial, ce qui en soi me laisse indifférent, je trouve suffisamment de talent dans les planches que j’ai vues, dessinées par Delaff, pour penser qu’André aurait au moins hésité. Sinon adhéré.
    Voilà pourquoi je ne compte pas appuyer la croisade d’ Isabelle Franquin qui, écrasée par la responsabilité de tout ayant droit ( Hergé, Giraud … ), doit vivre un vrai défi existentiel . A cela je compatis, pas à la cause.
    Frank Pé.

  404. La poésie qui imprègne tout l’univers de Gaston n’appartient qu’à Franquin. Je signe résolument !

  405. Aimer un auteur et son œuvre c’est, avant tout, la respecter. Gaston est bien plus qu’un personnage, il représente la quintessence de l’esprit artistique et humain de Franquin au zénith de sa carrière, une véritable extension de lui-même. Un regard unique sur son époque, plein de finesse, qui lui était propre. Comment pouvons-nous prétendre nous glisser dans ses souliers et deviner c’est qu’il aurait fait aujourd’hui ? Il nous a légué un cadeau inestimable, essayons de le préserver plutôt que de le dénaturer.

  406. Pour le respect des décisions des créateurs quant à l’avenir de leurs œuvres ici celui d’un dessinateur qui a accompagné mon adolescence de fou rire

  407. Je signe. Je trouve particulièrement malvenue la tentative de politique du fait accompli des éditeurs, alors que la position de la fille, reflet fidèle des volontés du père, était connue de longue date. Mais est-ce surprenant de la part d’un conglomérat vendeur de papier?

  408. Je signe, malheureusement sans la dextérité et le génie des célèbres signatures de Franquin… Parce que l’œuvre de Franquin est unique et ACHEVÉE, et n’appelle aucun repreneur, fût-il un excellent moine copiste.

  409. J’approuve. Cette question dépasse le cas seul de Franquin, les auteurs en général doivent se sentir concernés – si l’éditeur passe outre dans le cas présent, il sera à même de recommencer systématiquement.

  410. « La bande dessinée ne peut être restreinte à un artisanat traditionnel ni à un produit industriel » est-il écrit, en conclusion, dans cette lettre ouverte. Je partage pleinement cette appréciation et j’invite chaudement les nombreux « éditeurs » qui n’ont toujours pas compris cette évidence à la méditer. Et je signe des deux mains tout ce qui est dit dans cette lettre ouverte.

  411. Tel le Grand Capital qui s’exprime toujours sans état d’âme, et sans rapport avec les droits d’auteur qui n’ont rien à voir avec la situation ici évoquée, j’affirme ici sans état d’âme que personne ne peut déroger aux « directives anticipées » exprimées par un auteur concernant sa propre œuvre. C’est une infamie pour la Terre entière, dans toutes les cultures.

  412. Il est important de cesser de confondre « hommage » avec « exploitation commerciale décomplexée ». Lorsqu’un personnage est une « émanation-signature », comme le disait Mœbius, et comme l’est sans discussion Gaston Lagaffe, le ressusciter sans consentement s’apparente à une violation de sépulture ou à une zombification de l’œuvre, qui par contagion, voit son intégrité s’effriter au profit de l’ersatz et du placebo. Nul auteur ne mérite cette médiocrisation organisée ; et surtout pas Franquin.

  413. Je signe d’autant plus volontiers que j’ai formulé la même intention à de nombreuses reprises : devant mes proches, devant notaire et sur différents médias. Je m’oppose à ce qu’un autre dessinateur s’empare du Chat, après ma disparition.

  414. La base d’un éditeur est de respecter ses auteurs, passés et présents.