Emelire a eu le plaisir de corriger cet essai d’Eric Neyrinck : « Bukowski et moi ». Paru en juin 2020 aux Editions Lamiroy.
Déjà plus de vingt-cinq ans que tu es parti Hank, emporté par une putain de leucémie ce maudit 9 mars 1994. Vingt-cinq ans que tu as quitté ce monde de merde dans lequel, crois-moi, rien n’a évolué dans le bon sens. C’est même devenu de pire en pire pour les pauvres bougres sans fortune que nous sommes. La fameuse classe moyenne que l’on voyait triomphante dans les années 60 et 70 est en train de se casser la gueule et il ne restera bientôt plus rien de ce que certains anciens ont acquis au prix parfois de leur vie pour notre bien-être.
L’auteur
Né il y un demi-siècle, ayant grandi à Bruxelles, rien ne prédestinait Eric Neirynck à l’écriture quand il est tombé dedans il y a plus de dix ans par la faute d’un jeune éditeur français. Depuis il a publié plusieurs nouvelles, romans et participé à différentes revues et magazines.