Le Taiyō

Ma mère était indonésienne et mon père diplomate français. Toute mon enfance, j’ai entendu Maman commander une salade exotique en dessert en demandant s’il elle contenait du Taiyō. On lui répondait toujours par la négative.

À six ans, mes parents se sont séparés et mon père m’a emmené avec lui autour du monde. Je n’ai jamais revu Maman mais, comme elle, je commande toujours une salade exotique en dessert en demandant s’il elle contient du Taiyō : non, personne ne sait à quoi peut bien ressembler ce fameux Taiyō.

Un jour, ma petite amie est revenue toute fière d’un voyage au Japon avec cet innestimable Taiyō. C’est une sorte de mangue appelée aussi « œuf du soleil » qu’on ne trouve qu’à Hokkaidō.

La veille, j’avais reçu un appel d’un hôpital indonésien : ma maman avait eu un accident et ne se souvenait plus de rien.

Je suis parti la retrouver en emportant avec moi le précieux Taiyō. Elle avait tout oublié, moi et tout le reste : amnésie complète.

Pour tenter de lui faire retrouver la mémoire, j’ai découpé le Taiyō et lui en ai donné un beau gros morceau bien juteux et savoureux. Elle l’a pris avec indifférence, l’a goûté puis englouti avec délectation. Et fut victime d’un choc anaphylactique qui la tua.

Toute sa vie, elle avait évité ce fruit auquel elle était hautement allergique. Comme moi. En lui donnant la mort, j’ai sauvé la vie qu’elle m’avait donnée.

Eric Lamiroy
22 janvier 2024
(Les fruits défendus)

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Stop ou encore ?

Opuscule #297

Auteur : Eric Lamiroy

Titre : Stop ou encore ?

Collection Opuscules

Parution : 23 juin 2023

ISBN : 978-2-87595-851-8

Prix : 5 € en format papier / 1 € en format numérique

Un impromptu c’est le contraire d’un traité. C’est un texte bref, léger, facile d’accès.
Entre philosophie et littérature, entre pensée et émotion, entre sentiment et concept.
Une écriture qui essaie, au plus près de la vie, d’apporter un peu de pensée et de sérénité.
André Comte-Sponville

Les opuscules sont publiés depuis six ans tous les vendredis sans interruption.
Voici le moment de se poser la question.
Stop ou encore ?
Vous aurez la réponse à la fin de cet impromptu.

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Dans le noir

– AAAAhhhh !
– On y voit mieux.
– Profitez-en, on n’en a que pour 5 minutes.
– Deux euros pour 5 minutes ?!?
– Et encore, vous seriez venu il y a quelques semaines, on n’en aurait eu que pour 2 minutes…
– Comment pouvez-vous vivre dans ces cond…

Crépuscule #20

Auteur : Eric Lamiroy

Titre : Dans le noir

Collection Crépuscule

Parution : 1 mars 2023

ISBN : 978-2-87595-816-7

Prix : 5€

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Marcel Proust : Tant de jours sont venus se placer dans le Temps

Marcel Proust, Tant de jours sont venus se placer dans le Temps.

L’article d’Eric Lamiroy

Editorial : Maxime Lamiroy

Illustrations : Hugues Hausman

ISBN : 978-2-87595-690-3

Parution le 1 juillet 2022

Prix : 4€ en version papier / 2€ en version numérique

Disponible également en version numérique sur toutes les plateformes

Editorial :

Rien ne sort encore de ma tasse de thé, ni fleurs, ni maisons, ni personnages consistants qui composeraient mon commentaire sur l’œuvre de Proust. Il est encore trop tôt, mon éditorial se limitera à deux éléments, deux premières pierres qui formeront peut-être l’édifice futur d’un tel commentaire.
De toutes les lectures qui peuplent mon esprit, À la Recherche du temps perdu occupe une place à part. Appartenant à la catégorie des textes entamés mais pas encore terminés – comme L’Adolescent de Dostoïevski (depuis sept ans, 150 pages restantes) et le Moby-Dick de Melville (depuis trois ans, les 150 premières pages jusqu’à l’apparition d’Achab) – elle est la seule dans laquelle je me relance souvent depuis une dizaine d’années. Si je n’ai plus lu une ligne de L’Adolescent ou de Moby-Dick depuis ma première lecture, j’essaie à intervalles réguliers de progresser dans La Recherche.
Les trois premières années, je lisais chaque été un tome de La Recherche. Le rythme s’est fort ralenti avec Sodome et Gomorrhe, plus précisément après la première partie qui ne fait qu’une trentaine de pages (1). Les dialogues mondains étaient moins amusants, les personnages toujours les mêmes, les situations moins complexes. À un moment donné, le narrateur et Albertine prennent le train pour passer une soirée à la Raspelière où séjournent les Verdurin. Accompagnés des fidèles de leur salon, le texte se perd dans le portrait de ceux-ci et dans des énumérations soporifiques sur l’étymologie possible des patelins traversés.
J’ai passé six ans dans ce train. Avançant d’une page tous les trois mois, ouvrant le livre et m’énervant à chaque lecture de constater que Marcel Proust faisait du Marcel Proust, que cela n’en finissait pas. Avec le quatrième tome, j’avais commis l’erreur de choisir l’édition grand format chez Gallimard (collection blanche). Les pages plus grandes semblaient encore plus interminables. Maintenant, je suis au début de La Prisonnière (en folio), je lis des passages où le narrateur n’estime pas que les femmes puissent avoir de l’intelligence, où il se frotte et jouit contre Albertine pendant son sommeil et je me demande s’il ne faudrait pas abandonner. Après tout, Proust était mort à la parution des trois derniers tomes. Ce n’étaient pas des œuvres de l’auteur.
Un matin, je me suis levé sans l’envie de faire grand-chose. J’ai lu un passage où Proust passe sa journée dans son lit. J’ai redéposé le livre et je n’ai jamais connu une journée plus active de ma vie. J’en avais fini des journées passées à me prélasser dans mon lit, à imaginer des choses irréalisables.
Je reviendrai à Proust. Pour l’instant, je préfère lire des textes commentant La Recherche. Il y a une ombre proustienne qui affecte beaucoup d’auteurs en littérature. Il faut savoir la distinguer, percevoir si les autrices et auteurs parviennent intelligemment à s’en défaire.
Adulte, j’ai constaté un lien étrange entre mon enfance et celle de Proust. Il venait de mon père et de son activité professionnelle. Une chose très concrète, en plusieurs exemplaires, dans plusieurs caisses, entreposées dans le garage de la maison qui se trouvait en dessous de ma chambre. Tous les soirs de mon enfance, je me suis endormi sur ce trésor. Inutile à tous les habitants de la maison, il aurait transformé à jamais l’existence proustienne et aurait peut-être fait disparaître de la littérature française son œuvre la plus pesante, celle qui lui donne un centre de gravité dynamique. Mon père était délégué médical, le garage était plein d’inhalateurs contre l’asthme. Je me suis amusé une ou deux fois à faire coulisser ces objets ronds et à pousser le levier en mettant mes lèvres contre l’embout buccal. Leur forme et leurs deux couleurs les rendaient très attrayants pour les enfants. Un jour, j’ai fait le parallèle entre l’enfance de Proust et la mienne et je me suis demandé si l’univers n’avait pas contracté une dette envers l’auteur de La Recherche, une dette qu’il a mis du temps à rembourser car le temps de l’univers est plus lent que le nôtre. Il lui fallait trouver quelqu’un pour honorer une dette, un légataire universel. On peut aussi interpréter cette situation d’autres manières, moins poétiques ou davantage poétiques. Quoi qu’il en soit, j’ai dormi toute mon enfance sur un trésor proustien sans aucune valeur littéraire.
Pour le reste, tout est encore à écrire.

Maxime Lamiroy

(1) La plus longue phrase de Proust, citée dans cet article, se trouve dans la plus petite section de son œuvre. À la différence du Corydon où André Gide tente de légitimer l’homosexualité, le narrateur hétérosexuel réfléchit à la situation que vivent les homosexuels de l’époque, au paradoxe auquel ils sont confrontés (ne pas montrer leur homosexualité à la société et montrer leur attirance aux autres homosexuels, ce qui engendre des cas encore plus contradictoires où ils doivent montrer l’homosexualité d’un autre pour cacher la leur). Proust ne peut cependant s’empêcher de faire appréhender à son narrateur la position des homosexuels comme celle d’une malédiction, d’une disgrâce. Cela provoque l’adoption d’un ton épique qui englobe l’ensemble du propos dans un seul souffle, un seul chant tragique et crée la plus longue phrase de l’œuvre.

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Poisson d’avril !

Opuscule #233

Auteur : Eric Lamiroy

Titre : Poisson d’avril !

Couverture : Hugues Hausman

Collection Opuscules

Parution : 1 avril 2022

ISBN : 978-2-87595-654-5

Prix : 4€ en format papier / 2 € en format numérique

Disponible également en format numérique sur toutes les plateformes

Le passe-temps favori d’Eric, c’est de faire des canulars à Bernard.
Mais pas tout le temps, uniquement le 1er avril !
D’abord car c’est plus difficile de piéger un Bernard averti qui examine scrupuleusement tout courrier, tout message à l’approche de la date fatidique. Ensuite parce que ce genre de calembour se prépare, se mitonne aux petits oignons, doit tenir compte d’aléas de livraison par la poste ou de l’aide de complices.
Et cette année, Eric va se surpasser !
Si les opuscules paraissent tous les vendredis, c’est la première fois que cela tombe un 1er avril.
L’occasion est trop belle pour que leur fondateur, Eric Lamiroy, résiste à la tentation de passer de l’autre côté de sa collection.

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Préfaces

Préfaces
Auteurs : Alice on the Roof, Barbara Abel, Thierry Bellefroid, Véronique Bergen, Bruno Brel, Xavier Canonne, Philippe Close, Thierry Coljon, Jean-Luc Couchard, Jacques de Pierpont, Eric De Staercke, Gorian Delpâture, Bernard Dobbeleer, Jean Dufaux, Michel Dufranne, Jacques Duvall, Cédrick Fairon, Philippe Geluck, Guillermo Guiz, Thomas Gunzig, Pierre Guyaut-Genon, Dan Lacksman, Eric Laforge, Francis Lalanne, Eric Lamiroy, Maxime Lamiroy, Dalaï Lammers, Joske Maelbeek, Jacques Mercier, Stéphane Rosenblatt, Richard Ruben, Eric Russon, Frédéric Sojcher, Véronique Thyberghien, Jean Van Hamme, Carlos Vaquera, Alex Vizorek, Marc Vossen, Patrick Weber et Marc Ysaye.
Editions Lamiroy
Parution : 15 janvier 2022
ISBN : 978-2-87595-620-0        
160 pages
Prix : 20 €

Pour concentrer – et non résumer – tous les livres que nous avons publiés depuis 2013, nous vous présentons dans ce recueil uniquement les préfaces.

Ces textes vous donneront l’envie de poursuivre votre lecture vers les ouvrages qu’ils introduisent.

Si leurs thèmes sont très variés, tous ont en commun d’être le cadeau d’un premier lecteur à un auteur.

Et comme les cadeaux, ça ne se revend pas, tous les bénéfices de ce livre seront reversés au Ciré (Coordination et initiatives pour réfugiés et étrangers).

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Excréments

Crépuscule #12

Auteur : Erja Ystävä

Titre : Excréments

Traduction libre du finnois par Eric Lamiroy

Collection Crépuscule

Parution : 1 janvier 2022

ISBN : 978-2-87595-621-7 

Une femme est étendue sur le sol de la salle 5 de l’Ateneum Art Museum.

Vêtue d’une jokapoika de Vuokko Nurmesniemi et chaussée de Manolo Blahnik, un étron émerge de sa bouche.

La commissaire Jyrki Lukija comprend vite que cette affaire restera à jamais gravée dans les annales.

Erja Ystävä est Finnoise comme son nom l’indique.

À 38 ans, elle a été tour à tour bibliothécaire, horticultrice et artiste plasticienne.

 » Ulosteet  » est sa première nouvelle traduite en français.

Alain Magerotte / Secrets de Polichinelle« On n’est pas dans la merde ! » Voilà la réflexion type d’un inspecteur de police face à un crime insoluble à résoudre. Or, dans l’enquête qui nous occupe, on y est dans la merde et pas un peu… jusqu’au cou même ou, pour être plus précis, jusque dans la bouche !En effet, Enni Von Bonsdorff, critique d’art renommée, est retrouvée morte dans la salle 5 de l’Ateneum Art Museum d’Helsinki, un étron dans la bouche ! Et cela, le jour du vernissage de « Ex(PO)créments éternels » de l’artiste contemporaine Eveliina Sillvanpää. Une expo très courue par le public car ces déjections ne viennent pas de n’importe quels « trous de cul »; mais de « trous de cul » célèbres comme ceux de Stephen King, Freddie Mercury, Alice Cooper ou encore Björk.Bref, pour en revenir à cette tragique découverte, personne n’a rien vu car cette Enni Von Bonsdorff n’aimait pas être dérangée quand elle jugeait une exposition. Ce qui complique (et pas un peu) l’enquête. Supputations classiques : Suicide ? Non, elle s’aimait trop pour cela. Accident ? Peut-être… Car à force de péter plus haut que son cul, on risque de… Non, ce serait trop facile, et puis comme dirait Horatio Caine (« Les Experts ») : « c’est un meurtre !’ En tout cas, cette histoire ne sent pas bon d’après la commissaire Jyrki Lukija qui mène l’enquête, d’autant plus qu’il y a eu des précédents des années auparavant. Dès lors, il faut à la fois agir vite et viser juste, en évitant soigneusement de tourner autour du pot.Peut-on parler, ici, d’une histoire de cul ? Oui, si l’on s’en tient à la fonction première du mot. On se félicitera donc de découvrir tout le talent d’une auteure, Erja Ystävä, qui réussit, sur du papier de première qualité, à nous torcher une histoire qui nous tient en haleine (heureusement fraîche et sans étron dans le goulot) jusqu’au bout et qui risque de rester gravée dans les anales… Euh, les annales des Editions Lamiroy. »Ulosteet » (« Fèces » en français) est le titre original. La traduction libre du finnois est d’Eric Lamiroy.À découvrir d’urgence !

Gaëtan Faucer / Les belles phrases

Un délice pour les coprophiles, un état de siège pour les autres ! 
La scène se passe dans un musée, lors d’un pré-vernissage d’une expo de merdes…
Si si… Premier sens du terme !
Mais ça ne sent pas bon. On a retrouvé un cadavre dans une sale (salle) posture : un étron dans la bouche ! Il s’agit du corps d’une critique d’art. La crème fouettée de la profession. Ses papiers étaient toujours bien écrits…en double, voire en triple épaisseur. Que s’est-il passé ? Crime ? vengeance ? Il n’y a pas eu de coup de feu… donc pas de chasse tirée. Très vite, l’enquête est en marche (on est en Finlande.) On ne tourne pas autour du pot. Une commission (la grosse) est mise en place pour faire transiter l’affaire ! 
La suite est top secret, on ne peut surtout pas dévoiler la fin, ni en dire davantage. Il est clair que certains vont devoir se laver les mains… Lunettes baissées, va falloir bien viser.
On retrouve ici le mot de Cambronne à toutes les sauces. L’écriture est drôle et facétieuse, on ne s’ennuie pas une seconde.
Un conte idéal pour les amateurs d’histoires qui resteront dans les annales. (à l’inverse de cette critique)

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Madame Beulemans

– Voyez Suzanne, si vous n’étiez pas là, on serait encore une fois sans lumière …

Une surréaliste rencontre nocturne dans un grenier devient une saynète à deux personnages inspirée par la pièce de Fernand Wicheler et Frantz Fonson : Le Mariage de Mademoiselle Beulemans.

« Quand le théâtre nous manque, il suffit de l’inviter dans son grenier. »
Libre incipit que j’affectionne pour vous parler de ce livre.
Il y a un siècle (février 2019… peu avant le Co… id !), Eric Lamiroy avait amusé la galerie avec  » Once upon a time in… Paris  » !
Justement, le terme « galerie » n’est pas utilisé en vain. Il s’agit ici d’un clin d’œil au  » Mariage de Mlle Beulemans « … et comme tout le monde sait (ou presque!), le théâtre des Galeries a une belle histoire avec cette pièce.
Une scène surréaliste va se passer sous nos yeux… des anachronismes amusants et touchants. Le tout entre deux femmes et deux époques différentes.
Bref, Eric rend un triple hommage à sa manière, à travers ce texte mythique : au monde du théâtre, aux comédiens et à la situation pénible des artistes. Un régal pour les amoureux des planches ! Les dessins sont du génial Hugues Hausman
Gaëtan Faucer

Madame Beulemans

Auteur : Eric Lamiroy
Illustrations : Hugues Hausman
Editions Lamiroy
Parution : 14 février 2021
ISBN : 978-2-87595-442-8
30 pages
4 € (+ 1 € de frais d’envoi) / 2€ en format numérique

Disponible en format numérique sur toutes les plateformes

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Once upon a time in Paris / Il était une fois à Paris

Si Luc Besson a trouvé cocasse de se retrouver avec toute son équipe de tournage face à celle de Quentin Tarantino à la Tour Eiffel (après tout, la Dame de fer est le décor de milliers de films), lorsque sont descendus en rappel – des deux côtés ! – cinq ninjas rouges et un sixième jaune, il a trouvé la coïncidence fort de café.
Mais ce n’est rien par rapport à la tête que Quentin Tarantino a faite lorsqu’il a vu ensuite arriver sur la Seine deux batobus avec à leur bord, venant de gauche, Jean Dujardin et un perroquet à crête de plumes noir perché sur son épaule et, venant de droite, George Clooney et un cacatoès gris lui parlant à l’oreille.

Once upon a time in Paris / Il était une fois à Paris

Auteur : Eric Lamiroy
Illustrations : Hugues Hausman
Editions Lamiroy
Parution : 8 mars 2020
ISBN : 978-2-87595-272-1
35 pages
4 € (+ 1 € de frais d’envoi) / 2€ en format numérique

Disponible en format numérique sur toutes les plateformes


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Cinq mille mots serrés comme un petit café italien

13 opuscules présentés par Eric Lamiroy

Auteurs : Jacques Mercier, Adeline Dieudonné, Henri Vernes, Isabelle Wéry, Maxime Damo, Véronique Bergen, Bernard Swysen, Cécile Hupin, Alain Doucet, Géraldine Martin, Brice Depasse et Stefan Liberski 

Titre : Cinq mille mots serrés comme un petit café italien

Collection Opuscules

Parution : 21 juillet 2019

ISBN : 978-2-87595-231-8

253 pages

Format 12 x 20 cm

Prix : 20 €

en vente sur www.lamiroy.be

Offert avec l’abonnement d’un an aux opuscules

13 opuscules pour fêter les deux ans de la collection. Après leur lecture, ne soyez pas triste, il y en a une centaine d’autres ! 

  1. Jacques Mercier : Des matins lumineux
  2. Adeline Dieudonné : Seule dans le noir
  3. Henri Vernes : La cigale aveugle
  4. Isabelle Wéry : Fumer des Gitanes
  5. Maxime Damo : Manquant à l’appel
  6. Véronique Bergen : Émeutes en milieu urbain
  7. Bernard Swysen : Fergus McEdny
  8. Cécile Hupin : Pizza
  9. Alain Doucet : Toboggan
  10. Géraldine Martin : Matriochka
  11. Brice Depasse : Ob-La-Di, Ob-La-Dan
  12. Adeline Dieudonné : Le ventre idéal
  13. Stefan Liberski : Space Conflikt Gallery

Illustration de la couverture : Frédéricque Bigonville

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